CROSS FIRE
L'éternité ne suffit pas

Du côté du Lago Albano.
Pour poursuivre leur quête, Sofia et Sœur Anna doivent se rendre en Irak. Leur seule piste pour le secret de Judas aurait un point de départ à Mossoul. Sur place, elles pensent retrouver le professeur Mackeow qui travaille là bas, mandatée par le gouvernement irakien et le Smithsonian Institute.
Angelo, qui n’a pas toujours retrouvé toute sa mémoire, est maintenant libre d’aller où il veut. Mais il préfère accompagner les deux jeunes femmes.

Sur place, en Irak, le professeur Mackeow (qui a tapé dans l’oeil d’Angelo) va les conduire à Mossoul, aux ruines de Ninive. Là, il semblerait que l’armée américaine les a pris pour cible. Angelo et ses compagnes vont devoir se battre pour s’en sortir.

 

Par berthold, le 1 décembre 2010

Notre avis sur CROSS FIRE #5 – L’éternité ne suffit pas

Après nous avoir appâté avec l’excellent tome 1 de sa série CIA – Le cycle de la peur en août 2010, Jean-Luc Sala nous revient en grande forme avec le cinquième tome de la série Cross Fire pour cette fin novembre 2010.

Cross Fire
est donc une saga estampillée 100% adrénaline, action et jolies filles où l’humour (l’amour -de son prochain-?) a aussi sa place. De l’Italie, du Vatican à l’Irak, le scénariste ne va pas nous laisser une minute de répit dans ce récit qui s’avère fort divertissant et passionnant.
Nous allons donc suivre nos héros dans cette quête où le mystère nous tient en haleine tout du long.
Cross Fire est un mélange d’Indiana Jones avec un peu de James Bond où les auteurs s’amusent à faire quelques clins d’œils à d’autres films comme Star Wars (je vous laisse chercher) entre autres.
Sala place aussi sa série dans l’actualité avec les évènements qui se déroulent en Irak. L’endroit va s’avérer être un piège pour nos héros,ils vont devoir apprendre à se méfier de certains "alliés".
Le scénario est donc à la hauteur et tient bien la route.

Il en est de même pour la partie graphique de Pierre-Mony Chan qui s’améliore de tome et tome. Je reste époustouflé par la qualité de son dessin et de ses couleurs dans ce tome 5. D’inspiration manga, son trait a su prendre sa propre vie pour nous donner un genre à part, unique. Chan a du talent pour les scènes d’action. Sa mise en scène est très dynamique, très entrainante : si Angelo, par exemple, tombe, vous tombez avec ! Vous verrez !
Il a du talent aussi pour dessiner les jolies filles. Tenez, par exemple, lorsque Sofia n’est juste habillée en haut que d’un gilet pare-balles ouvert. Si vous, messieurs, ne craquez pas à ce moment là…

Ce tome 5 est très bon donc et suivez le titre de cet album : vous n’aurez pas assez de l’éternité pour savourer Cross Fire !
Profitez en maintenant !

 

Par BERTHOLD, le 1 décembre 2010

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