CROQUEURS DE SABLE (LES)
La luciole d'or

 
Il manque à sa fille, mais Varech Saccavent n’est vraisemblablement pas près de la revoir. Pauvre petite Goélane ! Son père a en effet été mis en prison puis libéré (mais sous contrôle) pour aider, avec d’autres, les "Filants" dans leur recherche de la Luciole d’Or. Le problème pour Saccavent, c’est que cette nouvelle quête va le conduire dans la ville de Munnin où il redoutait d’arriver pour y avoir volé, des années plus tôt, une précieuse relique.
 

Par sylvestre, le 8 septembre 2013

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur CROQUEURS DE SABLE (LES) #2 – La luciole d’or

 
J’avais eu du mal à m’approprier l’univers, à mordre à l’aventure et à en apprécier les héros. La lecture du tome 1 m’avait été vraiment très pénible. Pourtant, et c’est le cas aussi dans ce tome 2 : on sent qu’il y a derrière tout cela un énorme travail produit par l’auteure Joly Guth qui d’ailleurs s’exprime avec de plus en plus d’aisance, comme le sous-entendent certaines mises en pages de plus en plus originales et les petits clins d’œil qu’elle s’autorise (cf. l’extrait des Mistrals Gagnants de Renaud) !

Mais la bonne volonté du lecteur ne fait pas toujours tout et comme le premier, ce second volet de la série Les Croqueurs de sable est aussi très difficile à apprivoiser, à suivre et donc à comprendre. Dommage ! J’y retrouve en plus ces faiblesses que j’avais relevées en lisant le premier opus (dessin trop jeune, plein d’imperfections, mauvais équilibre entre textes et dessins et choix des couleurs toujours aussi déroutant), ce qui fait que mon ressenti n’est malheureusement pas des meilleurs : j’ai encore perdu la concentration dont j’aurais voulu faire preuve en luttant page après page contre ce graphisme qui n’est qu’agressions pour mes yeux… Je suis très dur en écrivant cela, j’en suis conscient, mais c’est ainsi : je n’ai encore jamais réussi jusque là à entrer dans cette histoire, malgré tous les efforts que j’ai faits.

Désolé, je ne suis pas la bonne personne pour vous parler en bien de cet album…

Nota : On observe une double numérotation des bas de pages en chiffres romains et chiffres arabes. Cela nous indique peut-être que le découpage tel qu’on le découvre dans ces albums n’est pas forcément fidèle à la présentation qu’aurait voulu Joly Guth pour sa série lorsqu’elle la mettait en page…?
 

Par Sylvestre, le 8 septembre 2013

Publicité