CREPUSCULE DES DIEUX (LE)
Le sang d'Odin

Une terrible calamité s’abat à nouveau sur la terre des hommes, menaçant de balayer sauvagement toute civilisation et d’entrainer avec elles le royaume des dieux.
Thor, n’est plus que l’ombre du grand Dieu qu’il fut et alors que les hordes de Winterdraggs avancent de plus en plus, le seul espoir des hommes réside dans le sort de deux enfants. Héritiers du feu d’Odin, détenteurs d’un pouvoir qu’ils ne maitrisent pas encore, ils vont devoir aussi combattre la peur et la convoitise que suscite chez les hommes et les autres rois elfes ce pouvoir.

Par olivier, le 26 février 2014

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Notre avis sur CREPUSCULE DES DIEUX (LE) #8 – Le sang d’Odin

Les temps sont de plus en plus sombres pour les hommes et les elfes. La guerre a déjà commencé, le grand fléau qui approche sonnera la fin d’un monde et les deux enfants Lif et Lifthrasir ne sont pas encore prêts à affronter le cataclysme qui s’apprête à fondre sur les royaumes.
Alors qu’ils viennent d’échapper, de justesse à une tentative de meurtre, Ewir décide d’emmener les enfants le plus loin possible de la convoitise des elfes et des Winterdraggs. C’est une route semée d’embuches et de rencontres qu’ils vont emprunter.
Bien qu’encore larvée, la guerre a commencé. Phocas et sa légion avancent vers l’est, sous le regard des Dieux qui discrètement veillent, Yngwild quant à elle se rend près des Nornes dont le pouvoir pourrait libérer son ami Bjarnulf du terrible enchantement qu’elle a libéré afin de défendre l’épée de Siegfried.

Les éléments d’un grand conflit se mettent en place.

Jarry poursuit cette magnifique saga au souffle épique qui nous entraine aux confins de la terre des hommes, des elfes et des Dieux. Avec un scénario parfaitement maitrisé, il structure le récit par petites touches, faisant avancer ses personnages sur des chemins indépendants mais qui tous tendent vers un ultime but, s’opposer au grand hiver.
Le dessin de Djief porte une nouvelle fois la légende avec une vision très imposante du récit comme seuls peuvent encore se l’offrir les scénaristes et dessinateurs de bande dessinée. La mise en scène est spectaculaire et il nous fait entrer avec aisance dans cette saga du nord.

Par Olivier, le 26 février 2014

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