Bébé Thanos doit mourir !

A la fin, Frank Castle avait passé un pacte avec le diable et devint le Ghost Rider. Il s’associa ensuite avec Galactus, qui lui donna le pouvoir cosmique. Après avoir été son hérault, il se mis au service de Thanos. Lors d’un combat, le Silver Surfer tue Castle grace à Mjolnir, mais est-il vraiment mort ?
Castle s’est retrouvé au Valhalla. Sa mauvaise humeur gêne Odin, qui lui redonne une nouvelle chance en tant que Ghost Rider de l’espace. Et là, Castle a une idée. Pour empêcher que le chaos n’arrive à cause de Thanos, il suffit de remonter le temps et le tuer alors qu’il est encore bébé.
Lorsqu’il se retrouve face au bambin Thanos, il n’ose l’abattre, il essaye autre chose…

Par berthold, le 26 mai 2019

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Notre avis sur Bébé Thanos doit mourir !

Ce volume reprend les Cosmic Ghost Rider (2018) 1 à 5.

La saga est écrite par Donny Cates, qui s’est fait remarqué avec sa série Thanos et celle sur Les Gardiens de la Galaxie, ou encore sur Doctor Strange. Avec Cosmic Ghost Rider, Cates s’offre une petite récréation fort sympathique. En effet, ce récit est du pur divertissement, amusant, violent aussi, mais qui propose une version alternative de " Et si on pouvait remonter le temps, devrait on aller tuer bébé Hitler pour changer l’avenir et éviter l’holocauste ?".
Castle, le Punisher devenu le Cosmic Ghost Rider, veut aller tuer le bébé Thanos avant qu’il ne devienne le Titan que l’on connait et ne détruise l’univers dans le futur. Sauf que, forcément, tout ne va pas se dérouler comme prévu… Pour notre plus grand plaisir, d’ailleurs !
Nous découvrons Castle qui prend une décision plus "humaine" et affronte un groupe "inédit" de Gardiens de la Galaxie mené par Cable ! La conclusion est excellente.
Le récit de Cates est très bon, il montre qu’il a l’étoffe d’un grand scénariste et démontre que Marvel ne s’est pas trompé en lui confiant quelques unes de ses séries.

Pour la partie graphique, il est associé à Dylan Burnett. Cates et ce dernier ont travaillé ensemble, par le passé sur quelques titres qui leur ont permis de se faire connaitre. Ici, le style Burnett convient très bien à ce genre de récit.  Il y a de la folie, de l’humour et quleque chose d’accrocheur dans son dessin, superment mis en avant par les couleurs de Fabela.

Une lecture que je vous recommande fortement ! C’est du "comics" qui atteint son but : divertir tout simplement.

 

Par BERTHOLD, le 26 mai 2019

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