CORNELIUS SHIEL
Le Baiser de Judas

Hector Travis continue de retranscrire les mémoires de Cornélius Shiel, bibliophile de renommée internationale. Ce dernier est surtout l’un des principaux sorciers acharnés à délivrer des enfers leur maître : Lucifer. Mais cela Hector n’en sait rien. Déjà, il est trop content de faire ce travail de bibliographe, lui qui n’est qu’un simple copiste. Et puis, il y a Elisabeth, la jeune journaliste.
A côté de cela, Travis est surveillé par les hommes de main du propre frère de Cornelius, un autre magicien puissant…

 

Par berthold, le 7 mai 2015

Notre avis sur CORNELIUS SHIEL #2 – Le Baiser de Judas

Elle est superbe la couverture de ce second volet de Cornelius Shiel. Elle est signée par Patrizio Evangelisti. Elle annonce le ton, l’atmosphère que le lecteur va retrouver dans cet album.

Mallet signe un récit puissant au suspense tenace où les révélations se font petit à petit. Ainsi, il nous raconte le passé de Cornelius et du coup, nous en apprenons un peu sur le personnage, sur son histoire et ses relations avec son frère qui est son ennemi. Ce dernier tente de piéger Cornelius en piégeant le jeune Hector Travis. Il y a quelque chose de caché en lui. Un secret que seul Shiel (et sa défunte femme) connaissent.

Mallet nous raconte, outre cette histoire de magiciens et de sorciers, une (et même deux) très belle histoire d’amour, comme vous allez le constater. Cela s’intègre parfaitement dans ce récit dont le lecteur ne peut le lâcher avant le mot "fin" !

Le travail de Patrizio Evangelisti est vraiment superbe. La couverture nous montre une partie du talent de cet artiste. Avec le Baiser de Judas, il nous offre des pages d’une rare qualité et d’une sublime beauté magique ! De plus, ce dessinateur et coloriste excelle aussi pour nous offrir des pages étonnantes et époustouflantes avec des scènes assez étonnantes visuellement.

Le Baiser de Judas est tout aussi réussi que le premier volet et nous donne bien envie de vite lire la suite de cette saga !
Un tome à ne rater sous aucun prétexte !

 

Par BERTHOLD, le 7 mai 2015

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