CONTES DU 7EME SOUFFLE (LES)
Shiro Yuki

Shiro Yuki est une jeune fille, qui s’est échappé de son palais, où sa belle mère Saori vient de tuer un riche seigneur… son père. Alors qu’elle est poursuivie par un garde de sa belle mère qui semble vouloir la tuer, elle est secourue par un samouraï du nom de Toho Daisuke. Shiro lui raconte alors son histoire, et il entreprend de l’aider à reconquérir ses terres, que Saori est bien décidée à garder…
Toho Daisuke sollicite alors une audience auprès de cette femme, pour avoir gain de cause, mais Saori ne l’entend pas de cette oreille… Toho va donc voir le shogun…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CONTES DU 7EME SOUFFLE (LES) #2 – Shiro Yuki

Si le dessin est assez surprenant au premier abord, le scénario est un peu un classique dans les histoire de Ronins (samouraïs sans maître), mais à y bien regarder, pas tant que cela. Le traitement de l’histoire est agréable à suivre, et on passe un bon moment avec cette BD qui comporte néanmoins sa dose de dialogues, bien agencés, et créant une bonne matière autour de la trame principale.
Quant aux dessins, il faut aimer bien sur, et cela reste aux goûts de chacun. Pour ma part, j’ai été surpris au départ, puis j’ai trouvé que les dessins avait leur charme propre. Les personnages on parfois des physiques un peu châtiés, mais le style reste constant tout au long de l’album, et c’est ce qui est important pour moi. De même, j’ai trouvé que le travail sur les couleurs n’était pas exagéré, et bien adapté au dessin. Une bande dessinée assez homogène en somme. Personnellement, un bon moment de lecture, et si je tombe sur la suite, je la lirais sans doute, mais elle ne fait pas partie de mes coups de coeur du moment, ce qui en soit n’enlève rien à sa qualité. Un album qui m’a permis de passer de bonnes minutes, et que j’apprécie pour les couleurs que je trouvent vraiment bien faites, mais que je relirais avec une fréquence moins assidue que d’autre.
Je conseille néanmoins la lecture de cette série, car c’est toujours agréable de voir un album un peu diffénrent des autres, et sur ce point, il vaut vraiment le détour.

Par Siam l'Archiviste, le 4 juillet 2003

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