CONTES DES HAUTES TERRES
La longue nuit

Algernon Woodcock parcourt la lande écossaise. Il y rencontre un vieillard et une femme, qui vont chacun lui raconter une étrange histoire. La première est celle de deux enfants qui s’aimaient, et la seconde est celle d’une jeune fille partant le soir chercher un médecin pour son frère malade.

Par Gdseb, le 1 janvier 2001

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3 avis sur CONTES DES HAUTES TERRES #1 – La longue nuit

Attention. Cet album n’est pas la suite d’Algernon Woodcock, et Sorel n’y a dessiné que 8 pages. Ces précautions prises, ce premier tome est une réussite. Les dessins de Sorel sont comme toujours fabuleux (et pour une fois, en noir et blanc). Quant à Castaza, son trait colle bien à l’ambiance des contes : tantôt simple, tantôt onirique. C’est d’autant plus fort que l’album est en noir et blanc. Les 2 contes racontés dans cet album sont d’un niveau correct, sans être pour autant extraordinaires ni très originaux : on a l’impression d’avoir déjà entendu des trucs dans ce goût là.

Par Gdseb, le 2 décembre 2002

Dans le même esprit que l’oeil fé, cet album apporte une fraîcheur (au propre et au figuré) dans le ciel actuel de la BD. Pour ceux qui veulent parfois un peu plus que les "boums-boums" et les "arghs!!!" qui sont souvent synonymes de BD : à acheter absolument !

Par Tata Tita, le 24 février 2003

Quelle déception avec cet album ! Je me faisais une telle joie de retrouver les contes traditionnels écossais adaptés en BD. Hélas, trois fois hélas !!!
Contrairement à mes camarades, je trouve que le noir et blanc ne rend pas justice aux traits raffinés de Sorel et Castaza. Ni aux Highlands, d’ailleurs : l’Ecosse brille de mille lumières et méritait la couleur. Les ambiances sont atténuées par l’absence de couleurs, l’impact est moins fort.
Par contre, le travail d’adaptation de Gallié est effectivement splendide et dégage quand même un peu de poésie.
Je rêve maintenant à une ré-édition en couleurs de cet opus.

Par Beuleu, le 6 juin 2006

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