COMPLAINTE DES LANDES PERDUES (LA)
Cycle Les Chevaliers du Pardon tome 2 : Le Guinea Lord

Le Guinéa Lord a quitté son repaire. Il s’est mis en chasse. Ce guerrier est invincible. Il rejoint un groupe de 4 hommes envoyés par le seigneur de Galway qui lui apprennent que la Morigane que cherche le Guinéa a abordé l’ile. le Guinéa Lord va donc entendre ce que va lui annoncer la Morigane…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur COMPLAINTE DES LANDES PERDUES (LA) #6 – Cycle Les Chevaliers du Pardon tome 2 : Le Guinea Lord

Après de longues années d’attente (bon, pas tant que ça quand même), ce mois d’octobre 2008 a vu enfin la sortie du nouveau tome du second cycle intitulé Les Chevaliers du Pardon de la saga Complainte des Landes perdues qu’imagina Jean Djinn Dufaux avec Gregor Thorgal Rosinsky pour le premier cycle. Avec ce nouveau départ, Dufaux a retrouvé son complice de la série Murena, Philipe Delaby.
Cet auteur met tout son talent graphique pour nous offrir des pages de grandes qualités. Son dessin, superbe, très recherché et fouillé est des plus impressionnants. Il suffit de voir son Guniéa Lord chevaucher pour en avoir la chair de poule.
Encore une fois, le scénario de Dufaux est des plus réussis. Il est prenant et surprenant. Jean Dufaux est un auteur avec une sacré imagination, je trouve.
Nous retrouvons Seamus dans ces pages et ce jeune apprenti chevalier du Pardon va connaitre un gros bouleversement ici. Déjà, il va être frappé par la trahison de son ami Eïrell puis par quelque chose que là, je ne vais pas dévoiler ici. Non, cela il va falloir lire ce tome pour le découvrr.
Complainte des Landes Perdues n’est pas une série facile d’accès. Elle nous entraine dans un monde ancien où se croisent légendes celtiques et autres, où l’on croise des chevaliers et leur apprenti et où la sorcellerie joue un rôle prédominant.
Encore une fois, ce tome est superbe. C’est une des bonnes surprises de cette fin octobre 2008. Idéal à lire par de tristes journées pluvieuses, froides ou enneigées.
Un retour à ne pas manquer..

Par BERTHOLD, le 2 novembre 2008

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