Cœur tam-tam

Eugène est revenu d’Afrique, les yeux pleins de rêves, d’idéaux sur la vie, la communauté… Mais le village ou il est revenu s’installer ne le prend pas très au sérieux, et encore moins quand il refuse de vendre son terrain pour que la ville puisse y installer une usine !!!

Par fredgri, le 1 janvier 2001

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Toute la BD, que de la BD !

2 avis sur Cœur tam-tam

La rencontre de Benacquista et de Berlion m’avait interpellée et je m’attendais à une histoire un peu noire. Benacquista, romancier, auteur de bd, du magnifique «Outremangeur » ou de « La Boîte noire » change de ton avec Cœur Tam-Tam , d’ailleurs il adapte une nouvelle tirée d’un recueil relatant des récits au Congo Belge !
L’histoire ressemble à une pantalonnade, avec des ficelles énormes et qui tend vers l’humour potache. Le contraste est détonnant et le dessin de Berlion généreux et rond augmente encore cette ambiance. C’est bigarré, les cases sont larges et prennent l’espace des pages comme on lézarde au soleil.
Cette bande dessinée est vraiment étrange, attirante, elle donne envie de la lire d’un trait dès le départ. Je me suis vraiment fait plaisir avec un ton léger, une sorte de fable moderne sur « Qui est pris qui croyait prendre » 😉 et qui remet les pendules à l’heure, j’aime bien ça !
Très agréable à lire, superbes aquarelles, à voir pour la détente et la satisfaction des happy end !

Par MARIE, le 29 décembre 2003

Cet album est très sympa, j’aime bien le travail de Berlion, même si je en le trouve pas très fignolé, un peu baclé même ! Le scénario de Benacquista est lui aussi très sympa, sans plus !
Bon cet album est quand même très agréable à lire, simplement on a sans cesse le sentiment que l’histoire passe à côté de plein de trucs vachement importants. Les personnages sont assez fades en fin de compte (à part la scène ou Eugene retourne en Afrique et retrouve celle qu’il aime) !
Donc si vous voulez offrir un album pour les fêtes, un de ceux qui se lisent tranquillement, je peux quand même vous le conseiller ;-)))

Par FredGri, le 15 décembre 2003

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