COBRA - THE SPACE PIRATE
L'arme absolu - volume 3

Cobra vient de comprendre comment lire le plan qui est tatoué sur le dos des soeurs Royal. En compagnie de Dominique et de Lady, il va pouvoir se diriger vers la planète Zados, la planète des sables où se cache donc l’arme absolu.
Mais zados s’avère être une planète pas si accueillante que ça. Le danger est partout…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur COBRA – THE SPACE PIRATE #3 – L’arme absolu – volume 3

Ce troisième volume met fin à cette édition originale de luxe de cette aventure de Cobra : L’arme absolu.

Terasawa va encore nous entraîner dans une aventure pleine de rebondissements, d’actions et de charmes. Il ne faut pas oublier que Terasawa aime dessiner les jolies filles à peine vêtues. Cette dernière partie de l’arme absolue va donc nous montrer ce qu’est cette chose tant convoitée. Une surprise nous attends donc dans les dernières pages.
Tiens, une drôle de chose m’est arrivé en lisant ce volume, elle concerne la partie des Sodès. En commençant à lire cette partie là, j’ai eu le sentiment que j’avais déjà lu ce passage. Et je ne comprenais pas car ce tome 3 je venais de l’avoir. Je me dis, mince, ils se seraient pas tromper à l’édition? Et finalement, après recherches sur mes autres tomes de Cobra, je me suis rendu compte que ce passage était passé en version couleur dans le volume 8 des aventures de Cobra. Bref, ça allait mieux après et j’ai pu en terminer la lecture.
D’ailleurs, le lecteur pourra se faire une idée sur l’évolution graphique et de la couleur qu’utilisent Terasawa. Je trouve qu’il a un très bon style, pas trop manga classique mais une certaine européanisation de son style. Ces femmes sont superbement représentées. Tenez, il suffit de voir la galerie en première partie de ce livre.
A la fin, vous trouverez deux autres récits courts inédits de Cobra : Mahô no fune et Bara qui sont deux bonnes histoires plus une interview de Buichi Terasawa.

Une bonne occasion de vous replonger dans les aventures de ce pirate au psychogun !

Par BERTHOLD, le 12 février 2009

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