CITY HUNTER
Le sourire de l'ange

Ce volume se compose de deux histoires en fait :

1/ Ryo Saeba, plus connu dans le milieu sous le nom de City Hunter , est chargé par la belle Kasumi de voler une fleur . Mais pas n’importe quelle fleur . Il s’agit d’une tulipe noire que le malfaisant professeur Furitsu a dérobée à son créateur . Kasumi appartient à une grande famille de voleurs et , comme Ryo, elle sélectionne ses clients. Mais elle a été émue par la requête de ce vieux monsieur qui voudrait voir sa tulipe avant de mourir et demande donc à Ryo et a son associée Kaori , de l’aider à accomplir sa mission…

2/ Ryo est chargé par un père inquiet de veiller sur sa fille Yuki qui a décidé apparemment contre toute logique, de travailler dans un fast food . En effet, la jeune fille, héritière d’une riche famille, n’a apparemment aucun besoin d’aller travailler , et à plus forte raison dans ce quartier de Shinjuku infesté de Yakusa. Surnommée par Ryo « Mademoiselle Sourire », la jeune fille s’entête pourtant à vouloir conserver sa place… Ryo, touché par l’obstination et la fraîcheur de la jeune fille , accepte la mission, en ayant comme d’habitude, une petite idée derrière la tête…

Par Lucania, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CITY HUNTER #8 – Le sourire de l’ange

Le personnage de City Hunter est très connu par les fans de dessins animés puisqu’il s’agit du héros devenu célèbre chez nous sous le nom de « Nicky Larson ».
En fait, on retrouve quelques traits communs avec le D.A ( notamment au niveau du côté « obsédé sexuel » du héros) mais les personnages sont bien plus fouillés ici .

Historiettes.

Ce tome 8 est un tome à « historiettes » , deux petites histoires très sympathiques , sans rien de très palpitant. Les méchants ont plus l’air ridicules et stupides qu’autre chose. Les gags sont assez attendus et le scénario n’a rien de bien surprenant. Pourtant on se laisse prendre au jeu par la présence de personnages dotés de fortes personnalités qui rendent la lecture assez savoureuse.

Travail sur les expressions.

Au niveau du dessin, certaines planches de Hojo sont de pures merveilles je pense particulièrement à la page 167 ou le dessin devient vraiment un vecteur d’émotion avec un vrai travail fait sur les expressions et les regards. La candeur de la jeune fille y est très bien rendue. Ce tome n’est pas mon préféré de la série , mais cependant il a le mérite de promener le lecteur dans un univers qui commence à lui être familier… celui du nettoyeur City Hunter.

Par Lucania, le 27 août 2003

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