CITY HUNTER
Accroche-toi Kaori !

1/ Alors que Ryo et Kaori se baladent dans Shinjuku, on tire sur Kaori . Kaori était justement en train d’expliquer à Ryo qu’elle se sentait suivie ces temps derniers. Ryo trop occupé à se moquer d’elle ne prend la menace au sérieux jusqu’à ce qu’une balle de revolver emporte le talon de sa chaussure. Evidemment, Ryo s’en veut de sa négligence. Surtout quand il s’aperçoit que le responsable n’est autre que le renard d’argent qui n’a pas digéré son humiliation précédente. ( voir tome 13) Ce dernier veut un combat singulier avec Ryo, et si ce dernier refuse, il a juré d’abattre Kaori dans les trois jours…

2/ Kaori est catastrophée : une agence de détective concurrente vient de s’installer en face de l’immeuble ! Mais elle n’est pas au bout de ses surprises : outre le fait que la directrice, Reika est franchement mignonne et plait beaucoup à Ryo, il se trouve en plus que c’est la sœur de Saeko Nogami, l’inspectrice de police… Mais bien vite il apparaît que Reika est plus qu’une simple détective privée… et qu’elle a une façon bien spéciale de faire son boulot…

Par Lucania, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CITY HUNTER #14 – Accroche-toi Kaori !

Dans cet opus, les sentiments qui lient Ryo et Kaori apparaissent clairs comme de l’eau de roche . Et cela donne l’occasion de découvrir un Ryo du genre plutôt torturé sous sa carapace d’insouciance.

Emotions exacerbées.

En fait, la mise en danger de Kaori exacerbe les émotions de part et d’autres. Les regards et les visages se font très expressifs. Et la détermination de Ryo n’a d’égale que l’entêtement de Kaori .On se rend aussi compte dans cet épisode que Ryo a la déplorable habitude de fumer quand il est nerveux… Tout repose sur le non-dit. De malentendu en sous entendu. Mais au final ça donne une belle histoire comme on les aime.

Intermède

L’installation de Reika leur nouvelle voisine, est un prétexte à l’introduction d’un nouveau personnage dans le récit . Cela remet l’histoire sur les rails et atténue la tension dramatique entre les deux personnages . Cela fonctionne comme un intermède si on veut . On note quelques jolies planches, pages 7, 29, 34, 64 et 65 pour ne citer que celles là mais il y’en a tellement ! Le dessin se fait plus précis notamment quant aux détails du visages des personnages. Kaori a plus une bouille vraiment à elle . Et on sent qu’on la montre de plus en plus comme une femme et pas seulement comme un garçon manqué.

Par Lucania, le 28 août 2003

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