CITY HUNTER
Le retour de l’éléphant

1/ Akemi est en fait victime de sa passion pour la photographie . La jeune fille en prenant des photos en pleine rue a involontairement surpris le « renard d’argent » un tueur à gage en plein forfait… Evidemment l’assassin va tout faire pour éliminer ce témoin gênant et le film photographique qui va avec . Et évidemment Ryo Saeba va en profiter pour tenter de mettre « le renard » hors d’état de nuire . Mais bien sûr, pour corser le tout, Akemi semble toujours folle amoureuse de lui et ne lui lâche pas les baskets…

2/ Un beau matin, Kaori va vérifier si le panneau de la sortie est de la gare de Shinjuku ne porte pas le fameux message XYZ annonçant un travail quand … elle se retrouve nez à nez avec un colosse de plus de deux mètres de haut . En fait, il s’agit de Falcon un confrère de Ryo, plus connu sous le nom de l’éléphant . ( Mammouth dans la série télévisée )
Cet impressionnant personnage est venu confier une mission à Ryo. Il lui demande de prendre sa place auprès d’une jeune fille à l’éducation de laquelle il a contribué financièrement . Maki, tel est son nom, est la fille d’un mercenaire qui lui a autrefois sauvé la vie, et à sa mort Falcon s’était promis de subvenir a ses besoins. Au fil du temps, Maki est devenue une virtuose de violon . Mais plus que cela , elle apparaît aussi comme le seul point faible de Falcon aux yeux d’un mystérieux ennemi….

Par Lucania, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CITY HUNTER #13 – Le retour de l’éléphant

Ce volume est particulièrement savoureux car le personnage de Falcon y fait son apparition . Ce grand type à l’air de grosse brute se révèle un grand sentimental . C’est un personnage très attachant, émotif et bourru . Mais c’est aussi un redoutable pro. Sa carrure monstrueuse donne lieu a des gags assez désopilants. Même les souvenirs flous de la petite Maki font piquer à Ryo une bonne crise de fou rire . Mais le plus drôle reste le faible qu’a L’éléphant pour de charmants petits félins ….

Mélancolie

Mais à côté de cela une certaines mélancolie s’insinue . Et quelques éléments du passé mystérieux de Ryo commencent à transparaître. Kaori se rend compte qu’elle ne connaît pas son partenaire si bien que ça, finalement.

Jeu de piste

Le dessin est toujours aussi beau , notamment dans les scènes ou Maki joue du violon et ou elle semble vraiment transportée par la musique .Le scénario devient plus subtil, plus fin . On sent que l’auteur a décider de nous livrer des détails au compte goutte jusqu’à la révélation finale des derniers tomes .

Par Lucania, le 27 août 2003

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