CITY HUNTER
Une révélation surprenante

Ce volume, comme les précédents renferme 2 histoires.

1/ Kaori et Ryo sont chargés de protéger la présentatrice vedette de JBS TV Reiko Yuki par le directeur du service information de la chaîne . En effet, lasse de ne devoir son audience qu’à sa beauté Reiko a décidé de faire ses preuves en acceptant de réaliser un reportage sur des collusions entre politiques et yakuzas. En apprenant que l’on a engagé un garde du corps, elle refuse obstinément d’être protégée. Mais Ryo, que la jeune femme fait fantasmer à chaque fois qu’il regarde le journal télévisé en a décidé apparemment tout autrement…

2/ Un jour, au hasard d’une de ces promenades , Ryo sauve une toute jeune fille agressée une bande de voyous . La jeune fille éblouie par notre « nettoyeur », s’entiche de lui …Et Ryo s’empresse de prendre la poudre d’escampette. Le lendemain, Kaori et lui ont rendez-vous avec le directeur de la société Aja dont le mannequin, Akemi Tezuka , a reçu de nombreuses lettres de menaces. Ryo évidemment, se hâte d’accepter quand il voit la jeune fille , absolument ravissante. Mais il déchante vite quand Kaori lui apprend qu’elle n’a que 15 ans et qu’Akemi lui saute au cou en reconnaissant en lui son sauveur de la veille : o)

Par Lucania, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CITY HUNTER #12 – Une révélation surprenante

Les petites histoires de ce volumes sont prétextes a de petites réflexions sur la vie . L’ouverture vers les autres, la confiance, la possessivité d’un frère … tous ces thèmes sont joliment abordés sans pour autant donner l’impression de faire la morale. Les récits sonnent plus comme des paraboles que chacun est libre d’interpréter.

Complicité

La complicité et la tendresse entre Ryo et Kaori devient de plus en plus manifeste, mais c’est plus une suggestion du scénario que des gestes réels. Les paroles et les jeux de regards sont encore une fois très importants. Cela crée une connivence entre l’auteur et le lecteur .

Assurément humain

Le dessin est toujours aussi lumineux et agréable à regarder . Le héros n’est pas un super héros sans peur et sans reproche et ça le rend assurément humain . Les gags sont toujours aussi tordus mais parfois on ne peut s’empêcher de sourire devant les « coucous » à répétition du satyre de service ;o)

Par Lucania, le 27 août 2003

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