CITE 14
Les tables tournantes

Michel renverra sa nouvelle voisine lorsqu’elle frappera à sa porte pour lui proposer une promenade. Il n’a manifestement pas envie d’être dérangé pendant sa curieuse activité de plantation. Par contre, il ne réussira pas à refuser d’accompagner son bavard ami Hector : celui-ci doit se rendre chez une voyante pour rentrer en contact avec Belinda, son amour perdu.

Pendant la séance, un colis suspect va parvenir à Hector sur son lieu de travail…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

Publicité

2 avis sur CITE 14 #1.03 – Les tables tournantes

Ce troisième épisode se centre davantage sur hector, sur son étrange relation avec sa femme morte qu’il recontacte inlassablement par le biais d’une médium mais qui doit encore subir ses réprimandes malgré le fossé entre la mort et la vie. On découvre ainsi une personnalité bien plus tourmentée que laisserait le penser son habituelle jovialité. Gabus continue de saupoudrer son intrigue de mille et une autres, plus anecdotiques mais tout aussi mystérieuses, c’est vraiment palpitant !
Cette série ne cesse de me surprendre à la fois par son rythme mais surtout par cette façon d’alimenter un univers original. D’autant que les dessins sont incroyables, on a l’impression qu’ils s’étoffent de numéros en numéros !
Vivement la suite en tout cas !

Par FredGri, le 4 septembre 2007

En deux épisodes déjà, on a pris l’habitude de devoir partir sur une piste pour bifurquer prestement sur une toute autre, au gré du bon vouloir du scénariste. Et on se confirme que cette formule est plaisante même si elle peut encore peut-être frustrer ceux qui aiment bien savoir où les choses vont !

Cette fois, on croit pouvoir revenir tranquillement sur le mystère des graines de Michel qu’on avait aperçues dans le premier épisode, mais en deux coups de cuiller à pot, on est aspiré dans le tourbillon d’une situation encore nouvelle qui vient se superposer encore une fois à tout ce qu’on a déjà rencontré ; une situation permettant la présentation de nombreux nouveaux personnages et amenant son lot d’intrigues supplémentaires.

C’est là qu’on peut observer que le concept est bien pensé, bien calculé. Car si dans un album (classique) de 46 planches, on trouvait à la suite ces bribes d’aventures qui partent dans tous les sens, on crierait à l’incohérence, alors que là, on sait que ça fait partie du jeu et on accepte d’autant plus facilement de se faire surprendre et de vouloir connaître la suite. Même si l’on sait qu’on n’aura peut-être pas toutes les réponses à nos questions. Mais n’est-ce pas là un objectif du 9ème art que de vouloir titiller l’imagination des lecteurs ?

En route pour l’épisode 4 ! (Et à la date de cet avis, il est déjà dans les bacs !)
 

Par Sylvestre, le 25 août 2007

Publicité