CIA - LE CYCLE DE LA PEUR
L'heure des loups

Los Angeles. Sur la freeway 101.
Eve Van Fleet, agent de la C.I.A., suit la voiture du scénariste Jason Holt. Elle remarque qu’une autre voiture la pris aussi en chasse. Van Fleet intervient pour intercepter cette autre véhicule. Cela va d’ailleurs mal se terminer pour les deux personnes se trouvant dedans. Quand à holt, il rejoint les studios Universal où il essaie de rejoindre Merril. L’ayant retrouvé, il lui explique ce qu’il se passe. Mais au sein même du studio, d’autres gens semblent surveiller les deux scénaristes.
A bord d’Air Force One, l’agent Blackwell apprend qu’il n’ a pas été irradié. Par contre, pour le Président des Etats-Unis, il lui reste que peu de temps à vivre. Ce dernier tient à voir personnellement Blackwell.

 

Par berthold, le 2 août 2011

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Notre avis sur CIA – LE CYCLE DE LA PEUR #2 – L’heure des loups

Si vous aimez l’action, les séries musclées, les émotions fortes, le sensationnel, la série imaginée par le scénariste Jean-Luc Sala, C.I.A. le cycle de la peur n’a pas du vous échapper, ni vous décevoir.
Après une introduction assez costaud et "une mise en bouche explosive", voici la suite de ce festin pyrotechnique nappé d’un suspense qui vous titillera les sens.

Jean-Luc Sala ouvre le bal de ce tome 2 avec une scène d’introduction assez spectaculaire, digne des grands films d’actions hollywoodiens (où nous aurions pu croiser Bruce Willis), l’auteur va donc nous présenter la suite des événements. Nous allons voir ce qu’il advient de Blackwell et de son nouveau statut, nous suivrons Holt dans ce mic-mac où il s’est fourvoyé et nous serons épatés par les talents d’Eve Van Fleet, femme forte de cette série. D’ailleurs, je trouve que cette héroïne semble avoir plus d’atouts et de charismes que les autres personnages. Je ne veux pas dire que Blackwell entre autres, n’en a pas. Au contraire, mais Van Fleet arrive à se mettre en avant.
Nous verrons aussi que divers personnages complotent autour du président ou encore au siège de la C.I.A.
Bref, Sala développe son intrigue en nous tenant en haleine de bout en bout. Sur les 48 pages de ce livre, il ne nous laisse que peu de temps pour reprendre notre souffle et la dernière planche va vous donner envie de vite la suite. En effet, cela se finit d’un façon assez "percutante" !

Le tout est mis en images par le dessinateur Phil Castaza. Avec son graphisme qui peut paraitre "simple", il arrive à donner assez de force et de puissance à son dessin et à sa mise en scène pour que le lecteur rentre dedans. Castaza semble s’amuser avec certains passages d’actions assez mouvementées et spectaculaires.

Ce tome 2 poursuit donc avec délectation l’ouverture de cette saga qui j’en suis sûr va marquer les esprits et rester dans les annales du neuvième art comme un des meilleurs blockbuster du genre !

 

Par BERTHOLD, le 2 août 2011

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