CHI, UNE VIE DE CHAT
Chi's sweet home

 
Chi continue de grandir et de découvrir la vie au fur et à mesure de ses expériences. Aujourd’hui, elle va se découvrir un talent que nous autres, humains, envions aux chats : savoir retomber sur ses pattes à la fin d’une chute.

Voilà qui va mettre Chi un peu plus en confiance lorsque, après avoir grimpé dare-dare à la cime d’un arbre pour échapper à un chien, elle va devoir sauter de très haut (et user de son insoupçonné et bienvenu "effet ressort" !) pour retomber, saine et sauve, sur le plancher des vaches !
 

Par sylvestre, le 28 mai 2012

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Notre avis sur CHI, UNE VIE DE CHAT #8 – Chi’s sweet home

 
Chi reste une héroïne animale qu’on prend plaisir à voir évoluer, et elle réserve aux lectrices et aux lecteurs, dans ce tome 8, quelques belles surprises puisqu’elle se découvre des talents et des atouts qui devraient pouvoir la rendre moins peureuse, le cas échéant, et donc lui permettre de prendre des initiatives et donc d’aller au-devant de nouvelles aventures !

En effet, à l’occasion de jeux avec un autre chat, elle va être confrontée à des situations où elle ne pourra pas reculer. Il faudra qu’elle prenne sur elle et qu’elle aille de l’avant ; elle en tirera qu’elle gagnera en confiance.

Forte de cela, elle ne s’interdira certes pas quelques bains de soleil derrière les grandes baies vitrées de ses maîtres les Yamada, mais elle ne réfléchira peut-être pas autant qu’elle l’aurait fait auparavant lorsqu’il s’agira d’aller jouer dans la remise du vieux voisin : une remise pleine de nouveau objets à découvrir, elle qui avait déjà fait quelques expériences avec une boîte de gâteaux vide ou une bouteille en plastique…

Le dessin kawaï et les belles couleurs de la mangaka Konami Kanata ne perdent rien de leur pouvoir : la série pour enfants Chi, une vie de chat continue ainsi de faire fondre ceux qui ont, depuis 8 tomes déjà, adopté cette petite chatte dont les aventures sont toujours à suivre. Avis aux autres qui ne la connaîtraient pas encore : difficile d’être allergique à ce bout de félin-là !
 
 

Par Sylvestre, le 28 mai 2012

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