CHATONS CONTRE...
Chatons contre licornes

La dernière tentative des aliens consistait à transformer tous les habitants de la planète Terre en dinosaures. Mais cette fois-ci, Eva et les ninchats sont bien mieux préparés. Si Gurty, le terrible chef des aliens, décide encore une fois de s’en prendre à eux, ils seront prêts à les accueillir !
Mais tout ne se passe pas comme prévu, après avoir battu les licornes toutes mignonnes envoyées par le redoutable chef des aliens, Eva décide d’inviter en douce ses deux amis dans le fort qui sert de base à son père, ses chats et à elle. Mais c’est sans compter sur la transformation en zombies de ces créatures à priori si inoffensives…

Par emma-holmes, le 2 décembre 2020

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Notre avis sur CHATONS CONTRE… #2 – Chatons contre licornes

Dans ce deuxième tome, nous retrouvons l’humour déjantée du scénariste ardéchois Davy Mourier. L’histoire est assez drôle et pour tous types d’âges : aussi bien pour des enfants, avec les chatons contre les licornes toutes mignonnes, que pour les adolescents et enfants un peu plus grands, avec les licornes zombies.
L’histoire nous fais changer notre vision sur les petits animaux minions. Et nous montre que les stéréotypes sur les gentilles licornes des dessins-animés et livres sont totalement injustifiés. Après avoir lu Chatons contre licornes, vous ne verrez plus jamais les licornes de la même façon !
On se retrouve dans un univers assez stressant à partir du moment où les licornes reviennent à la vie. Le scénario est très proche des films de zombies, mis à part les personnages principaux qui sont souvent considérés comme une sorte d’opposé. Toute l’histoire est basée sur l’oxymore que l’on retrouve dans le titre : « chatons contre licornes zombies ».

Pour le dessin, nous retrouvons les deux mêmes univers contradictoires. Les gentilles licornes sont représentées avec de petits yeux brillants, des cœurs et des ailes, et les terrifiantes licornes zombies avec de grandes dents, la peau déchirée… Enfin, le genre d’animaux avec lesquelles on n’aimerait pas passer une nuit enfermé dans un fort.

Une BD à l’humour intéressant, mais assez particulier. Je le conseille aux enfants de 9,12 ans, et même plus, si votre humour est resté le même en grandissant et que vous êtes toujours de jeunes enfants dans vos têtes !

Par Emma Holmes, le 2 décembre 2020

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