CERCLES D'AKAMOTH (LES)
Les Sans-Âmes

Edgar Harris et Richard Wilcox, deux flics de la LAPD, enquêtent sur les mystérieux cas des « Sans-Âmes », personnes disparues et retrouvées errant dans les rues comme des zombis. Leur piste les méne à Charles Doheny, avocat d’affaire bien connu pour ses relations avec les sectes de la ville…
Mais avant d’avoir pu l’interrogé, celui-ci est retrouvé assassiné dans des circonstances extrémement étranges.
Poursuivant leurs investigations, Harris et Wilcox vont remonter jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir, mais il semblerait qu’où qu’ils aillent, quelqu’un les précéde et règle ses comptes…

Par RONAN, le 1 janvier 2001

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2 avis sur CERCLES D’AKAMOTH (LES) #1 – Les Sans-Âmes

Voici une nouvelle venue dans la collection Insomnie!
Et cette série semble bien de la même trempe que ses consoeurs !
L’histoire débute comme une enquête classique, pour virer rapidement dans le fantastique. Cette histoire me fait un peu penser au film « Predator 2 », ou le flic ne semble pas bien comprendre à quoi il a affaire…
L’intrigue est bien menée, les personnages collent parfaitement à l’histoire, on les croiraient tout droit sortis d’un « Flic de Beverly Hills » ou d’un « Arme Fatale ». Seul bémol (et oui, tout ne peut être toujours parfait), les couleurs !
Autant le dessin vif rend parfaitement les expressions des personnages et les actions (quoi que parfois minimaliste sur certains arrières-plans), autant les couleurs sont fades et sans reliefs. J’ai l’impression parfois qu’il manque quelque chose dans les cases, un décor, tellement les couleurs unies sont lisses et froides…
Espérons qu’il ne s’agisse que d’une fausse note, et que le reste de la série sera améliorée sur ce point.
Il n’en reste pas moins, que ce tome est une excellente mise en bouche.

Par RONAN, le 23 mai 2003

C’est plutot une bonne surprise que ce tome 1 . Le scenario est prenant, les personnages ne tombent pas dans la caricature, l’action est au rendez vous.
Le dessin est bon, il colle parfaitement à l’histoire. Il restitue parfaitement l’ambiance du recit.
Vivement la suite…

Par BERTHOLD, le 26 mai 2003

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