CEDRIC
On rêvasse ?

Cédric vit avec ses parents et son grand-père. Et faire cohabiter trois générations sous le même toit n’est pas toujours facile. Il suffit de voir comment cela s’énerve au moment d’aller aux toilettes : entre celui qui joue à la game-boy, celui qui lit ou celui qui fait ses mots croisés … Faut il mettre d’autres WC dans la maison ? Peut êttre n’est ce pas une bonne idée.
Madame Nelly, la maîtresse d’école, s’est  tordu la cheville et ne peut assurer les cours. Les enfants vont découvrir la nouvelle maîtresse et vont vite regretter Madame Nelly.
Et puis, il y a Chen dont Cédric voudrait bien sussurer quelques mots à l’oreille…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur CEDRIC #21 – On rêvasse ?

C’est en 1989 qu’est sorti le premier album de Cédric, ce petit garçon imaginé par Laudec et Cauvin. Depuis, 21 albums sont sortis. On rêvasse ? est donc le 21ème. 
A la lecture de cet album, on constate que Cauvin et Laudec ont toujours la forme et que l’univers de Cédric les inspire toujours.

Je me suis bien fait plaisir en lisant ce tome. Et j’ai même ri par moment. Ce que j’aime bien, c’est les relations entre Cédric et son grand-père, souvent sources de gags. Il y a une complicité entre les deux, comme le passage du téléphone qu’offre le grand-père à son petit fils. C’est un moment très amusant mais aussi émouvant. C’est là qu’est la réussite de cette série : c’est que cela amuse, divertit mais quelquepart cela émeut aussi. Cela touche les enfants bien sûr, mais aussi les adultes. C’est une bande dessinée familiale et humoristique.

Je ris surtout en lisant les titres des journaux que lisent le père ou le grand-père. Regardez là, ce titre "Nikos veut chanter aussi à la star’ac; aïe aïe aïe" ou ces différentes allusions au festival d’Angoulême : "Cauvin, président du festival en 2023" et bien d’autres clins d’oeils ou petites piques amusantes.
Et puis, j’aime beaucoup le style de Laudec au dessin, qui est très plaisant.
On y retrouve tous les amis de Cédric aussi. Cela parle aussi un peu des joies de l’enfance.

Bref, c’est toujours un plaisir de lire ces histoires de Cédric, en famille surtout.

Par BERTHOLD, le 24 novembre 2006

Publicité