CARTHAGO
Kane

1997, en Chine. Kane réussi à s’échapper du centre de recherches où il était détenu en captivitée. Le jeune homme a une particularité : c’est un hybride homme-poisson. Il sait qu’il va être suivi, ce n’est pas la première fois qu’il s’évade, il lui faut masquer ses traces et lancer ses poursuivants sur de fausses pistes. Mais, il commet des erreurs et se fait remarquer. Les hommes de mains du Centenaire des Carpates sont sur ses traces.

Par berthold, le 15 juillet 2020

Notre avis sur CARTHAGO #11 – Kane

Dans ce onzième tome, Bec propose un récit en deux tomes, s’intéressant davantage à Kane.

La couverture est superbe et donne très envie de se plonger dans cette lecture. Bec nous entraine dans une course-poursuite haletante au suspense efficace où nous suivons les assauts d’un requin géant et où nous croisons la route de Donovan.
L’intrigue est passionnante et nous tient en haleine jusqu’au bout.
Nous découvrons que ce pauvre Kane, cet hybride, n’a pas connu une belle jeunesse, détenu dans un centre de recherches, il réussit à s’évader une nouvelle fois et découvre les dangers du monde extérieur. Car certains risquent d’être intéressée par ses capacités pour profiter de lui.
Certaines scènes donnent le frisson. Bec s’y connait pour nous immerger dans les ambiances angoissantes de ses récits.

Ennio Bufi est toujours aux commandes de la partie graphique. Son travail est remarquable, il installe du rythme avec des atmosphères idéales. Le tout étant embelli par les couleurs d’Andrea Meloni. Les scènes sous-marines sont magnifiques.

Un bon début pour ce dyptique qui nous permet de se replonger dans cet univers. Un bon divertissement pour l’été !

 

Par BERTHOLD, le 15 juillet 2020

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