CARMEN MC CALLUM
Samuel Earp

Un dirigeable-restaurant. 2 femmes kidnappent Samuel Earp, gros industriel de l’armement. Ce sont en fait Carmen Mc Callum et Naoko Sonoda, qui travaillent pour le compte de l’ONU, et qui procèdent à une évasion digne des meilleurs James Bond de la grande époque. Car Samuel Earp est inculpé dans une affaire de meurtre involontaire, par le biais de nanotechnologie. En effet, des agriculteurs ont été tués par les robots déréglés de Samuel Earp. L’ONU ayant récupéré celui-ci dès le début, on se dit : "C’est pas possible, y a un problème…". Et bien oui : des rescapés du massacre vont arrêter le convoi de l’ONU pour capturer Earp et le juger… à leur manière.

Par MAC, le 1 janvier 2001

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2 avis sur CARMEN MC CALLUM #4 – Samuel Earp

Wééééééé!!! C’est le retour de l’irlandaise!!! Youhou!!! Non, sans
blague, c’est un très bon album (encore? Ca devient lassant 😉 ) de Duval et
Gess. En plus, Earp est très bon en gros industriel pour qui tous les moyens
sont bons pour se faire du blé et se protéger. Y a qu’à voir son dicton : « In
Gun We Trust »! Ca ne vous rappelle rien, Mr. Bush?
De la très bonne BD, et c’est tant mieux.

Par MAC, le 22 septembre 2002

Ce deuxième cycle de Carmen Mac Callum démarre encore sur
des chapeaux de roues, et nous régale encore de dessins agréables à
l’oeil. L’histoire est également un bon petit régal, avec une bonne dose
d’originalité, très évocatrice des romans cyberpunk, se basant sur les
célèbres effets des satellites de régulation de climat. Pour tout
amateur de romans d’anticipation, science fiction et cyberpunk, Carmen Mac
Callum est un régal. Et pour les autres, cette série se lit sans aucune
difficulté, la trame est claire et les personnages fouillés et complexes
mais pas difficiles d’accès. Bref, une nouvelle fois, Carmen Mac Callum
nous emabrque en pleine action, et à l’atterrissage, on a qu’une chose
en tête : « Où est la suite ? »

Par Siam l'Archiviste, le 10 avril 2003

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