CAREME
Léviathan

Les affaires marchent pour Fidèle Martinien : sa librairie et maison d’édition "La Dame Blanche" ont le vent en poupe grâce à l’auteur maison Aristide Boulon et à son oeuvre Poupée de sang. Son mariage est au beau fixe et ils attendent des jumeaux.
Quant à Aimé, sa maladie progresse. Mais son amitié avec Fidèle dure.
Un jour, Fidèle, qui doit signer pour distribuer Poupée de sang à Nouvelle York et doit faire le voyage, propose à Aimé de l’accompagner.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CAREME #3 – Léviathan

Malheureusement, ce tome 3 est la fin, la fin d’une très belle aventure, un superbe récit, une oeuvre surprenante et différente.
Lorsque j’ai lu le tome 1à l’époque où il est sorti, nous savions que l’histoire serait en 3 tomes. Mais, jamais, je n’aurais pu deviner cette fin.
Christophe Bec et Mottura au dessin m’ont émerveillé, époustouflé, surpris, amusé et ému avec ce récit.
C’est vraiment une très belle histoire d’amitié. La bonne idée est d’avoir aussi créé cet univers avec ces villes qui nous rappellent des choses que l’on connaît mais que les auteurs ont su rendre différentes.
C’est aussi un récit sur les artistes, le monde de la création, le monde de l’édition, du livre. J’ai beaucoup aimé le parrallèle entre le livre à l’européenne et l’illustré souple de Nouvelle York.
Il y a l’artiste star Aristide Boulon qui sera à l’origine de la déchéance de Martinien et l’artiste humble que va découvrir Aimé et qui, grâce à l’histoire du Léviathan sauvera la maison d’édition La Dame Blanche : cet auteur se nomme Romutta (Mottura ?!).
Et puis, il y a la fin. La fin qui ne vous laissera pas insensible. Une fin qui saura vous émouvoir. Une belle fin de papier. 

L’aventure Carême se termine avec ce tome 3. 
Je tiens à remercier les auteurs pour ces trois tomes fort réussis et qui ont su me toucher avec ce récit.

Trois tomes que je vous conseille fortement.

Mais Bec et Mottura vont se retrouver pour une nouvelle série (co-écrite avec Betbeder) : DEUS (à paraitre aux Humanoïdes associés).

En attendant, (re)lisez Carême.

Par BERTHOLD, le 9 octobre 2006

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