CANDELABRES
Incandescence

Julien vient de sauver Paul de Sophie et sa bande de candélabres. Julien montre bien qu’avec Peul à ses côtés, sa puissance est sans égale, mais le seul problème, c’est qu’il cache des choses à Paul, qui ne tardera pas à découvrir qui il est … et la totalité des candélabres.
Une fois de plus, Paul est confronté à ses doutes, ses peurs, et sa quête de la vérité… En même temps que l’apprentissage de la vie avec David, son meilleur ami…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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2 avis sur CANDELABRES #3 – Incandescence

J’ai n’ai guère pu résister à l’appel de ce tome 3 lors de ma visite presque fortuite dans une librairie… Et c’est ainsi qu’il a rejoint ses deux petits frères dans ma bibliothèque. Il faut dire les deux premiers tomes m’avaient mis en haleine, et que je voulais la suite à tout prix. Comme la raison est quelque chose de très hasardeux, c’est au mépris du danger (danger = banquier), que je me suis procuré la suite. Et je dois bien avouer que je ne suis pas déçu, puisque tout ce que j’ai apprécié dans les premiers tomes est à nouveau là. Le charme des lignes simples dans le dessins, les visages un peu angéliques des protagonistes, les sous entendus dans le caractère des personnes, et l’histoire, qui me fascine toujours, sans se relâcher, sans prendre d’ampleur, juste en restant comme elle est. Egale à elle même.
Pour faire une exception et ne pas être objectif un court instant, je dirais qu’il faut lire et acheter Candélabres, pour ne pas passer à côté d’une BD que je trouve superbe. Simple dans son dessins, délicieusement simple, mais à laquelle j’accroche sans aucun problème, la lecture des albums restant encore et toujours un pur moment de plaisir.

Par Siam l'Archiviste, le 4 juillet 2003

Dans un marché de la BD en pleine extension, qui va de records en records, certaines séries restent injustement méconnues.
Candélabres est l’une d’entre elles. Cette série dispose de tous les éléments narratifs pour devenir l’une des références de la BD fantastique. Algésiras a réussit à mêler harmonieusement une multitude de symboles aussi bien historiques que culturels. Elle nous sert un univers original où Paul, le héros, se sert habilement du feu qui le consume pour s’extraire de son handicap et devenir aussi léger que l’air dans une chorégraphie décoiffante. La danse nous révèle tous les tourments dont souffre Paul et qui l’entraînent dans une interrogation perpétuelle.
Algésiras révolutionne le fantastique dans la bande dessinée et son trait tout en légèreté séduira l’ensemble de ses lecteurs. Nous assistons à la naissance d’une grande conteuse qui prolongera notre plaisir en adaptant le chef d’oeuvre de Pierre Bordage «Les Guerriers du silence».

Si vous souhaitez prolonger vos réflexion sur Candélabres, je vous conseille la lecture de Candel’Mag (http://candelmag.site.voila.fr/) :
Le numéro 1 est consacré à la présentation générale des trois premiers tomes, et à une interview exclusive d’Algésiras.
Le numéro 2 est parle de Paul Klarheit, le personnage principal. Nous avons essayé d’imaginer ce qu’aurait pu être son passé, ainsi que ce qu’il adviendra de lui à la fin de la série.
Nos axes de réflexions nous ont donc amené à relater les raisons de sa première paralysie et pourquoi il s’est brusquement coupé de sa famille. Nous avons aussi réussi à retrouver la sœur de Paul qui n’est pas mentionnée dans les BD.
Sur son futur, nous avons imaginé que les candélabres disparaîtraient de sa vie et qu’il en serait profondément marqué.
Tous ces axes de réflexions sont le fruit de notre imagination et ne préjugent pas du tout du contenu des tomes 4 et 5.
Le numéro 3 est un cadeau collectif d’un groupe de discussion sur Candélabres. A l’occasion de Japan-Expo, nous avons tenu à offrir un cadeau approprié à Algésiras. Nous nous sommes alors mobilisés pour écrire une série de haikus (petits poèmes japonais) et pour réaliser des fanarts sur le thème de Candélabres.

Par ajsq, le 11 août 2003

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