CANARDO
l'affaire belge

Willy Bollemans, le dessinateur de Terry le Basset, envoie son fils Rudy à Saint Luc, l’école de bande dessinée belge pour apprendre le métier. Peu de temps après, willy apprend qu’il est atteint de la tremblante du dessinateur. En sortant du médecin, il « rencontre » canardo qui le renverse avec sa voiture. Au bar au coin de la rue, ils lient connaissance. Quelque mois plus tard, la veille de Noël, Willy fait appel à canardo car son fils a disparu de l’école.

Par fef, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CANARDO #15 – l’affaire belge

Le quinzième album de canardo est sur le monde de la bande dessinée, mais il est montré comme si les dessinateur était des sportif, plus précisément des coureurs cyclistes. Certains utilisent du pot graphique, (un dopant comme le pot belge pour le vélo) pour finir leur album dans les temps et ainsi rester dans le peloton.

Toujours dans les comparaisons, on retrouve aussi des références aux trois mousquetaires, et l’école Saint Luc fonctionne comme une caserne militaire. Le tout permet de faire sourire et de faire quelques commentaires sur les auteurs et le monde de la bande dessinée. Cela donne un ton qui permet de rester dans la série des canardo même si c’est moins noir et cynique que les autres albums de la série. Canardo y est plus en retrait, il est presque un spectateur qui découvre le monde de la bande dessinée. Les jeunes auteurs, les rapports entre les auteurs et les éditeurs, les salons, … et pour une fois ce n’est pas lui qui fait les réflexions désabusées. Cela change des autres albums de la série et cela surprend un peu.

Par Fef, le 13 juin 2005

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