BUG HUNTER
Le prisonnier virtuel

Cyrielle, Malcom et les autres sont des bug hunters, c’est à dire qu’ils se branchent le cerveau sur les circuits informatiques de grosses boites pour les aider à réparer leurs logiciels après le passage d’un virus, ou bien cracker un système de sécurité, bref dans ce monde ultra technologique ils sont ceux qui tirent le mieux leur épingle du jeu.
Mais Malcom ignore les charmes de la belle Cyrielle pour courir se réfugier dans les bras virtuels des programmes érotiques qui abondent dans les bas quartiers de la zone franche.
Cependant cette nuit là, il tombe sur un nouveau specimen piraté qui finit par lui bloquer le cerveau, créant une dépendance pour progressivement le lobotomiser.
Appelée au secours de son "collègue", Cyrielle va devoir s’allier avec l’abjecte Faval et affronter les services de Krydell, le maître des bordels des bas fonds, et les troupes de "la sainte mission de la quadrature".

Par fredgri, le 1 janvier 2001

Publicité

3 avis sur BUG HUNTER #1 – Le prisonnier virtuel

J’ai vraiment adoré ce premier tome! Il a un intérêt artistique très fort à mes yeux.
Fred en parle mieux que moi, mais je trouve les couleurs vraiment excellentes, même si, au premier abord, elles m’ont surpris. C’est qu’à l’époque, j’étais un bon vieux fan de Lanfeust, alors, forcément ça surprend!
Mais l’intrigue était vraiment super chouette, même si parfois un peu confuse (on confond vite la réalité et le virtuel!).
Vraiment, je regrette profondément que la série s’arrête dès le premier opus. Pour en avoir discuté un peu avec Tonton, euh… pardon Arleston, les auteurs se sont aperçus qu’ils n’auraient peut-être pas assez matière pour faire une série complère. Mouais… ben, c’est pas gentil quand même!! : oD
Tant pis, consolez-vous avec Moréa, excellent aussi!

Par PATATRAK, le 15 juillet 2003

Un petit album dont on ne verra malheureusement jamais la suite, ce "Bug Hunters" est une curiosité.
Tout d’abord car il est la première collaboration entre Labrosse et Arleston (Moréa), mais aussi il se distingue par le travail très particulier sur la couleur. En effet Labrosse adopte pour l’occasion un palette très flashy aux choix souvent pas très heureux. Alors est ce que cette approche est la raison du bide commercial à la sortie de cet album ? Un peu quand même, je pense, car après tout même si le scénario n’a pas la fantaisie habituelle d’Arleston il est néanmoins très lisible, un brin voyeur même, peut être pas aussi intéressant que ça mais bon il n’est pas "mauvais".
En ce qui concerne Labrosse, et mis à part ses couleurs, son dessin est parfait, il rappelle celui de gens comme Dave Stevens, Adam Hugues, parfois même un peu Manara, c’est à certains moments un peu froid mais très agréable malgré tout.
Une petite curiosité à lorgner du coin de l’oeil, ne serait ce que pour admirer les jolies pin-ups de Labrosse 😉

Par FredGri, le 1 mars 2003

Je suis assez d’accord avec Fred, cet album vaut quand même le coup d’oeil…
Certes, les couleurs sont pour ma part, assez insupportables, mais le dessin est correct, voire bien. C’est vrai que par certains dessins de corps, Labrosse rappelle Manara, et le scénario aurait pu se tenir sur plusieurs tomes sans aucun problème. Mais c’est peut-être cette approche flashy, un peu seventies, qui a dû clocher et faire calancher cet album …
Dommage, cela aurait pu être une série agréable à lire…

Par Siam l'Archiviste, le 8 avril 2003

Publicité