BTOOOM!
Btooom! Tome 18

Les participants forcés à participer à un jeu de combat à mort sont en bien mauvaise posture. Sur l’île ou se déroule le jeu, des alliances se forgent, et se défont, c’est la survie de chaque candidat qui est en jeu. Le jeu se corse lorsque les organisateurs introduisent une nouvelle arme et son utilisateur, un expert de Btooom! le jeu online. Le prochain colis qui pourrait assurer la survie des candidats reviendra à celui ou celle qui saura défaire ce nouvel ennemi.

Par Clémence, le 9 août 2017

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Notre avis sur BTOOOM! #18 – Btooom! Tome 18

Dans ce tome, nous suivons en parallèle deux intrigues, deux combats. D’une part, sur l’île ou se déroule le jeu, les candidats luttent pour leur survie, et Oda décide de rompre l’alliance avec Okita afin de faire cavalier seul. Cette décision est lourde de conséquence, les anciens alliés deviennent ennemis mortels. D’autres candidats sont bien mal en point, et ont besoin de soins de toute urgence. Mais le prix à payer pour des médicaments et autres soins de secours s’avère élevé.

D’autre part, des intrigues politiques et économiques se mènent dans les plus hautes sphères, à un niveau international. Un groupe de hackers est en possession d’informations sensibles à propos du jeu et de Themis, et menacent de tout révéler. Des mesures radicales sont mises en place afin de contrer cette menace qui pourrait mettre à mal les puissants de ce monde.

Quelques flashbacks viennent également émailler l’intrigue, et donnent davantage de contexte et de profondeur aux personnages. On peut alors bien mieux comprendre leur motivation, ainsi que leurs choix dans ces circonstances particulières.

Impossible de reprendre son souffle, le rythme est très soutenu, et la tension palpable à chaque instant. Les scènes d’action sont dépeintes avec dynamisme et réalisme, ainsi que les différents personnages.

Pour public averti, car beaucoup de scènes violentes sont représentées, cette battle royale sur fond de magouille et intrigue politique est menée de main de maitre.

Par Clémence, le 9 août 2017

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