Bodycount

Alors qu’il tente d’aider une mystérieuse femme appelée Midnight, qui fuit des hommes surarmés qui tirent dans tous les sens, Casey Jones se retrouve entre deux feux. Heureusement, son ami Raphaël, des Tortues Ninjas, vient l’aider dans cette nuit peuplée de gangsters, de cyborgs aux gros calibres, d’uzis en surchauffe, de lames tranchantes…

Par fredgri, le 26 juillet 2021

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Notre avis sur Bodycount

Tout droit venus des années 90, Vestron nous ressort ce récit jusque là inédit qui nous raconte les péripéties décérébrées de Casey Jones allié à Raphael. Il n’est évidemment pas question de grand scénario, ni même de nous proposer du nouveau, mais simplement de nous dégourdir le cervelet en plongeant dans ces planches ultra-volentes qui n’ont d’autres ambitions que nous proposer exactement ce que la couverture promet !

Alors bien sur, Kevin Eastman est en roue libre tout du long, on se demande même s’il sait ou il va vraiment dans les premières pages, mais qu’importe, car c’est surtout un prétexte pour aligner les scènes de combats, de fusillades et de coups de savate dans le pif !!! Je trouve que malgré tout, ça manque de fond, plus sérieusement. Parce que ok, c’est décomplexé et très assumé, mais bon, ça ne raconte pas grand chose de plus que l’énième série Z, à petit moyen, qui accumule les gros clichés, ambiance rires gras !

On a vraiment le sentiment que de toute façon, Simon Bisley était d’accord pour illustrer cette mini-série, alors Eastman lui a pondu une vague idée au détour d’une énième tournée de bière et basta !

Il ne faut néanmoins pas négliger le côté purement jouissif de cette lecture. Certes c’est assez creux et vide, mais ça explose sous l’impulsion de l’artiste au style extrêmement dynamique !

A lire, avec une bonne bière, le cerveau posé sur la table !

Par FredGri, le 26 juillet 2021

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