BODY & SOUL
Volume 1

La vie de Miku n’est pas forcément celle dont elle rêve bien qu’elle vive avec un garçon amoureux d’elle, qu’elle soit jolie, qu’elle semble faire ce qu’elle aime, sortir, voir ses amis etc..
Malgré cela, elle n’a pas l’air d’aller bien fort et démarre souvent sa journée par un café – aspirine ! Jusqu’au jour où elle fait la rencontre de Rintarô Moriya, chiropraticien. Sans être son ange gardien, il lit en elle avec une étrange facilité et trouve les remèdes à tous ses maux !
Et si Miku changeait de vie ?

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur BODY & SOUL #1 – Volume 1

Le trait nerveux, balancé, donnant corps et allure au dessin signé par Erica Sakurazawa, voici comment se présente le nouvel album produit par le dénicheur de talents Asuka, déjà bien inspiré avec les livres de Ebine Yamaji notamment.

Cette nouvelle série particulièrement originale et intéressante traite des maux du corps causés par les maux de l’âme et du cœur d’où son titre « Body and Soul » – Traduisez : Corps et âme –.
Plutôt orienté vers les sciences, les produits et les soins naturels, ce nouveau manga raconte avec intelligence le travail sur soi que chacun peut faire dans sa vie afin de mieux se connaître et donc d’aborder la vie plus sereinement avec les moyens de se défendre des agressions qu’elles soient mentales, affectives ou tout simplement virales.
Ainsi, l’hygiène du corps, la lucidité et la solidarité sont évoquées par la mangaka au travers de la vie d’une héroïne très jolie et subissant sa vie.

Le dessin est très agréable et a beaucoup de personnalité ce qui représente un réel atout pour ce premier volume donnant envie de retrouver les personnages dans le volume suivant.
L’histoire est intéressante car assez palpable dans le quotidien et évite toute mièvrerie et niaiserie auxquelles on s’attend toujours un peu en voyant les visages stéréotypés des poupées asiatiques au corps de rêve et aux grands yeux de biche comme l’est Miku.

Constructif, étonnant, intrigant aussi (il se passe des tas de choses passionnantes tout au long de ces 200 premières pages y compris sans doute la naissance d’une idylle), ce récit mérite le coup d’œil. Il m’a carrément accroché et loin des fadaises et autres « gnangnanteries » il parle de soi au travers du regard de autres comme un miroir le ferait.

A découvrir sans hésiter.

Par MARIE, le 7 janvier 2006

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