BLEACH
Vice it

 
L’espada zéro, Yammy Riyalgo, est un monstre, comparé à la frêle Rukia qu’il tient dans sa main, mais le match qu’il joue contre elle n’est pas gagné pour autant, comme il va le constater… En effet, alors qu’il hésitait à voix haute, sûr de lui, entre différentes manières de la broyer, elle a pu lui envoyer un sort qui lui a fait mal et a donc accéléré les choses. Quand, en plus, Ichigo s’en est mêlé, les dés furent en quelques sortes relancés.

Puis c’est Kenpachi et Byakuya qui sont arrivés sur les lieux, reprenant le flambeau du combat contre Yammy et invitant alors Ichigo à retourner dans le monde physique où selon eux il avait mieux à faire… Mais celui-ci n’en fera rien, attendant en fait après Urahara pour que celui-ci lui ouvre le Garganta ! Une raison de plus le retiendra de toute façon : lorsque la capitaine Unohana l’orientera vers un combat contre Aizen en lui faisant observer qu’il serait le plus à même de le vaincre, n’ayant jamais vu son Shikai, ce qui passait pour un avantage non négligeable…
 

Par sylvestre, le 7 décembre 2011

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Notre avis sur BLEACH #44 – Vice it

 
Bleach est un manga dans lequel on est maintenant habitué depuis des tomes et des tomes à voir se succéder des combats et autres duels fantastiques. Dans ce quarante-quatrième volume, il y en a un qui ne va pas vous dire le contraire ! C’est Yammy, l’espada zéro, qui devant vos yeux de lecteur hypnotisé par la routine que vous impose ce manga depuis des centaines de planches, se fait débiter peu à peu par non moins de quatre adversaires successifs !!! Une coupure par ci, une coupure par là, puis quelques doigts qui sautent, puis une jambe !!! Une véritable corrida dont l’arène aux contours intangibles accueille, de l’autre côté du papier, les fans du travail de Tite Kubo !

Ce combat contre Yammy n’est pas le seul sujet de ce tome. Ichigo y est au cœur, aussi, ainsi que Tôsen, Komamura ou encore Hisagi. Bref, encore un casting étoffé pour mener tout ce petit monde vers la suite de l’aventure…
 

Par Sylvestre, le 7 décembre 2011

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