BLAKE ET MORTIMER
L'étrange rendez vous

Curieuse histoire que notre ami Mortimer raconte a Blake alors qu’il se rend pour la premiere fois aux Etat Unis d’Amerique. L’un de ces ancetres aurait ete retrouve a 2000 miles de son lieu de disparition, un peu moins de 2 siecles auparavant, lors de la guerre d’independance americaine. L’enquete l’entrainera sur la piste d’hommes etranges, armés de laser et de lunettes particulieres. Que peut bien cacher toute cette histoire ? L’avenir de laTerre est il compromis ? ou est ce son passé ?

Par HELENE, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur BLAKE ET MORTIMER #15 – L’étrange rendez vous

J’ai lu le dernier Blake et Mortimer et j’ai bcp aime. Je n’ai pas ce sentiment que Van Hamme a fait du « commercial ». Il reste dans la ligne de Jacobs je trouve. C’est sur que des elements comme la flic est un ajout au monde exclusivement masculin de Jacobs ! mais ca reste tres honnete meme si la fin est previsible alors que le debut est superbe. Le dessin quant a lui, est assez bon avec parfois des defauts qui ne gachent pas une fois dans l’ambiance…bref, du bon, classique, rondement mené mais sans extravagances…

FRANK

Je me suis acheté le dernier ‘Blake et Mortimer’ samedi. Parce que j’ai les 14 premiers et que je n’aime pas arrêter une série… Mais ce n’est pas la couverture qui me l’aurait fait acheter ! Je l’ai trouvée d’un terne… Quant au scénario, il m’a déçu. On y croise ce qui ressemble fort à des extra-terrestres à la Roswell et le tome est situé dans les années cinquante, en plein boom des descriptions de soucoupes volantes. Hé bien, je trouve ça franchement dommage de prendre comme base d’une histoire fantastique des choses auxquelles certains (pas moi, entendons-nous bien ! ;-)) ) croient… Ca donne une note de pseudo-réalisme, bof bof bof ! Et pour le dessin, si le trait respecte fort bien les canons de la ligne claire, il faut quand même noter que les yeux sont franchement mal dessinés. En conclusion, j’ai été plutôt déçue, mais ce n’est tout de même pas une mauvaise BD.

Par HELENE, le 1 janvier 2001

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