BLACK OP
Black Op 6

Il est temps pour Floyd Whitman de régler ses comptes, surtout de se "venger" de son meilleur ami : Trent Jackell qui est, aujourd’hui, le vice-président des Etats Unis. Ce dernier avait mis en route l’opération "Clean Up", qui devait effacer tous ses liens avec la mafia russe et mettre en place un nouveau dirigeant en Russie. Floyd n’a que peu de temps pour agir…

Par berthold, le 18 janvier 2010

Publicité

Notre avis sur BLACK OP #6 – Black Op 6

Vous savez quoi : avec ce tome 6 qui conclut en beauté la série Black Op, j’ai pris une belle claque. ces 6 tomes forment un tout et montrent ce qu’est un excellent thriller, un excellent récit d’espionnage.

Stephen Desberg, le scénariste d‘IR$, d’Empire USA et du Scorpion, connait bien les rouages pour faire un bon thriller, pour donner un bon suspense et tenir en haleine le lecteur. Si par moments, certains tomes ont connu quelques baisses de régimes, ce n’est pas la cas pour la conclusion. Du début à la fin, vous n’aurez pas un moment de répit. Vous serez pris dans la tourmente, dans l’action. Jusqu’au bout, vous allez vous demander si… mais là, chut, je ne vous dévoilerai rien. Le final est vraiment bon et vaut tous les Tom Clancy par exemple.
Oui, Desberg a réussi son pari de nous donner une grande œuvre de ce genre. Il a réussi à nous montrer et démonter les rouages de ces milieux de l’espionnage où la C.IA. est le maitre du jeu. Ses dialogues sonnent justes et avec son compère Hugues Labiano, ils nous donnent un belle et vrai vision des USA.

D’ailleurs, Labiano reste a la hauteur de son talent avec cet ultime opus.Il vsait faire ressortir l’émotion, les expressions avec son dessin particulier, original et unique. Il nous offre aussi de très belles scènes d’actions digne de ces thrillers américains. Les dernières pages font penser à du Coppola, du Scorsese ou du Mann.

Ce tome 6 est une très belle réussite. Vous n’oublierez pas de sitôt ce final qui ne vous donnera qu’une envie : vous replonger dans la saga complète !
Venez donc assister au dernier bal de Floyd Whitman !

Par BERTHOLD, le 18 janvier 2010

Publicité