BATTLE ROYALE
Soulèvement

Le nombre se réduit à 22 … Chacun cherche une solution pour sortir de cet enfer, que ce soit Shinji avec un précieux atout que l’amie de son oncle lui a transmis après la mort de celui-ci, ou bien Shuya et Kawada, qui en veillant sur Noriko, attendent en survivant que le jeu tire à sa fin.
Pendant ce temps, Shô Tsukioka, à misé sur le fait que Kazuo serait parmi les derniers survivants du jeu et le suit depuis le début pour le tuer lorsqu’il sera blessé, mais il se pourrait bien que ce plan ne soit pas le meilleur. Shinji et Yukata, eux, sont en train de mettre en place le plan B de Shinji…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur BATTLE ROYALE #5 – Soulèvement

La série a pris son rythme de croisière et les morts surviennent régulièrement. On s’installe dans un rythme assez classique, avec des actions dans le présent, quelques flash-back un peu longuets parfois, et des morts juste après. Le syndrome du "on revoie sa vie avant de mourir" est parfaitement illustré donc ^_^
Question histoire donc, on est vraiment dans une logique et un fonctionnement qui se retrouve d’un tome à l’autre. Il n’y a pas d’originalité dans le traitement, mais le rythme est plutôt bon, on ne s’ennuie pas vraiment. Question dessin, comme nous avons moins de morts et de combats (logique, vu qu’il y a de moins en moins de participants), la facette gore de la série s’allège un peu, et ce n’est pas plus mal. Ce qui n’empêche pas d’avoir un luxe de détails à chaque mort de concurrent tout de même… Je regrette un peu le ton du film, qui m’apparaît plus que lointain au fur et à mesure que j’avance dans la série, et le décalage entre la violence et le caractère du personnage du professeur incarné par Kitano, qui sous un masque impassible dirige pourtant cette tuerie organisée.
Au final donc, j’éprouve un sentiment mitigé au fur et à mesure que j’avance dans cette série, et je ne saurais tellement la conseiller, sinon aux amateurs de films gores, qui trouveront je pense leur compte.

Par Siam l'Archiviste, le 17 octobre 2005

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