BATMAN UNIVERSE
Renaissance

Batman n’est pas mort ! Il est de retour dans la ville de Gotham ! Pourtant, son style a l’air d’avoir changé. C’est ce que remarque le commissaire Gordon.
Mais, ce dernier n’a pas trop le temps de se poser la question : un certain Pyg semble semer la terreur en ville.
Batman et Robin sont sur sa piste…

Par berthold, le 27 octobre 2010

Publicité

Notre avis sur BATMAN UNIVERSE #3 – Renaissance

Voilà donc le retour du fameux duo de justiciers de la ville de Gotham.
Mais qui se cache donc sous le masque de Batman et de celui de Robin ?

Bon, si vous avez suivi les derniers événements , vous savez que Bruce Wayne est mort (disparu) et que la ville de Gotham a connu une rare violence depuis. Que certains convoitaient le costume du Dark Knight et que finalement, l’héritier logique a repris le flambeau : il s’agit de Dick Grayson. Et pour l’accompagner, il a pris sous son aile le jeune fils de Bruce Wayne, Damian qu’il forme en tant que Robin. Tim Drake, lui, continue ses aventures sous le nom de Red Robin.

Ce numéro 3 permet de lire la nouvelle saga Batman and Robin (épisodes 1 à 3) avec un Grant Morrison en grande forme au scénario accompagné d’un Frank Quitely au sommet de son art.
Ces récits sont vraiment plaisants et jouissifs ! Nous y voyons un Dick Grayson qui doute de lui et qui doit s’occuper de Damian, ce jeune garçon pas forcément sympathique (n’oublions pas qu’il est aussi le petit fis de R’as Al Ghul !).
Morrison introduit de nouveaux personnages comme Pyg ou ce Monsieur Crapaud (qui semble tout droit venir du livre "Le vent dans les saules" !). Le scénariste s’amuse à créer une sacré ambiance dans cette nouvelle série et cela semble bien prometteur. En attendant, la suite, admirez les pages de Quitely : que du grand art !! Je n’en dis pas plus !

Vous y lirez aussi le Batman #688 écrit par Judd Winick et illustré par Mark Bagley. C’est du bon aussi et l’amateur y croisera Le Pingouin et Two-Face.

Ce Batman Universe semble putôt bien parti. Alors, cela serait dommage de passer à coté d’une telle revue.

 

Par BERTHOLD, le 27 octobre 2010

Publicité