BAKUMAN
Culottes entraperçues et messie

Saikô et Shûjin travaillent dur sur les nemus de leur gag manga dans l’espoir qu’il soit adapté en série.

Mais l’orage gronde. Miyoshi découvre, en effet, que Shûjin a retrouvé par hasard son ancienne petite amie, Iwase, romancière. Elle croit que c’est avec elle que Shûjin discute longuement tous les soirs au téléphone. Elle ne sait pas qu’ils s’apprêtent à devenir rivaux dans le monde du manga, ni que la relation que Shûjin entretient avec Aoki n’est rien d’autre que professionnel.

Bref, les quiproquos ne manquent pas et la tempête va entacher jusqu’à l’histoire d’amour de Saikô et Azuki, cette dernière pensant que son amoureux est complice des “duperies” de Shûjin.

Par legoffe, le 2 novembre 2011

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Notre avis sur BAKUMAN #8 – Culottes entraperçues et messie

Plus que le manga, c’est finalement l’amour qui est au coeur de ce huitième épisode particulièrement mouvementé. Les malentendus tombent en cascade, créant un joyeux micmac, jubilatoire pour le lecteur, plus encore lorsque nos héros vont découvrir à quel point Aoki s’est inspirée de l’histoire d’amour entre Saikô et Azuki pour sa nouvelle série. Cela va engendrer les premières tensions dans le couple, brisant le côté un peu mièvre développé jusqu’ici entre les deux tourtereaux.

Ohba, une fois encore, évite tout surplace dans son récit et amène toujours de la nouveauté. Preuve en est, également, l’arrivée d’Iwase à la rédaction du Jump. Ce que vous allez découvrir annonce un duel d’anthologie dans le prochain volume !

Les aventures de nos auteurs de mangas sont donc plutôt cocasses et pleines de surprises. Jamais on ne s’ennuie. Si j’avais vraiment apprécié la série Death Note, des mêmes auteurs, qui jouaient alors dans un tout autre registre, je dois avouer être aujourd’hui encore plus séduit par Bakuman. L’univers est aussi dynamique que sympathique et nous retrouvons toujours avec un immense plaisir cette bande de joyeux mangakas. Si vous ne connaissez pas encore la série, vous pouvez y aller les yeux fermés !

Par Legoffe, le 2 novembre 2011

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