B.P.R.D. HELL ON EARTH
Flesh and Stone

Le chaos, l’enfer, règne toujours sur Terre. Des créatures monstrueuses apparraissent dans divers endroits des USA et de Russie. En Russie, justement, Iosif commence à fatiguer de cette situation…
Aux USA, les agents du B.P.R.D. font face à la situation du mieux qu’ils peuvent. Et ils payent un sacré tribut lors des divers affrontements avec ces monstres… Et dans une petite ville, Howard va avoir d’étranges connections avec son passé lorsqu’il était un guerrier du temps de la préhistoire…

 

Par berthold, le 27 octobre 2015

Notre avis sur B.P.R.D. HELL ON EARTH #11 – Flesh and Stone

Le onzième volume de la série B.P.R.D. Hell on Earth, intitulé Flesh and Stone, reprend les épisodes US B.P.R.D. Hell on Earth 125 à 129.

Avec ce nouveau volume, John Arcudi et Mike Mignola nous racontent le combat des agents du B.P.R.D. d’un côté et ceux de leurs homologues russes pour tenter d’arrêter ces créatures monstrueuses.
Ce nouveau tome est surtout centré sur l’action. Nous y retrouvons, certes, Liz Sherman, Kate Corrigan ou Johan Kraus, mais ces derniers n’y font quasiment que des apparitions. Ici, ce sont plutôt l’agent Enos et Howard, entre autres, qui sont mis en avant. Surtout Howard. Le lien avec son passé, datant des temps anciens, joue un rôle primordial dans cette aventure. Nous découvrons aussi l’évolution et le changement du personnage de Iosif.
Un autre personnage, Black Flame, semble faire aussi son retour ici.
Mais c’est surtout des scènes d’action, fortes, violentes où l’horreur de certains passages ne laisse pas indifférent les lecteurs.

Le dessin de James Harren est intéressant. Il est à la limite du dessin caricatural et humoristique, et pourtant, son style arrive à conférer l’ambiance adéquate à l’intrigue. Une atmosphère qui arrive tout de même à nous donner la chair de poule !
Quand aux couleurs de Dave Stewart, c’est toujours du grand art. Il est l’un des éléments primordiaux des diverses séries dérivées d’Hellboy !

Bref, un tome, que certains risquent de trouver transitoire, faible, mais qui, ma foi, a quand même bien des qualités et fait avancer les personnalités de certains personnages secondaires.

 

Par BERTHOLD, le 27 octobre 2015

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