AVENGERS
Rêveurs américains
Alors que Volstagg s’en va d’une visite de courtoisie à Broxton, Thor affronte le Silver Surfer : le héraut de Galactus. Ce dernier veut se nourrir d’Asgard.
Captain America affronte l’améridroïde. Le combat s’avère violent et fait des dégâts. Néanmoins, Rogers se débarrasse facilement de son ennemi et le ramène dans un QG où il retrouve Nick Fury. Pour Captain America, ce combat lui a semblé trop facile. Et si c’était un piège ?
Les jeunes vengeurs suivent Magnéto dans leur quête pour retrouver Wanda Maximoff. Alors qu’ils pensent l’avoir trouvé, ils se rendent compte qu’il s’agissait d’un Doombot. Il va falloir qu’ils se rendent en Latvérie pour y découvrir la vérité. Mais Wiccan désobéit aux ordres et y va seul…
Par berthold, le 5 mars 2012
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Notre avis sur AVENGERS #3 – Rêveurs américains
La qualité des épisodes de ce numéro 3 d’Avengers font de cette revue une bonne surprise de lecture. Après un Marvel Heroes assez mou, ici, nous sommes gâtés par des histoires plus dynamiques.
On commence par le Thor 3, écrit par Matt Fraction et illustré par Olivier Coipel. L’histoire nous raconte un combat entre le dieu du tonnerre et le Silver Surfer venu annoncer à Asgard que Galactus comptait bien se nourrir de la planète. Le combat est assez spectaculaire et nous ne sommes pas au bout de nos surprises puisqu’on nous promet un match final entre Galactus et certains asgardiens. Olivier Coipel fait un superbe boulot ici. Aussi à l’aise dans la comédie (Volstagg à Braxton) ou dans les scènes "sexy" comme le réveil forcé de Sif tout comme dans les scènes de combats.
Ed Brubaker est toujours aussi inspiré par son Captain America. Ce nouvel épisode, là encore, bien mis en avant par la superbe du trait de Steve McNiven va combler nos attentes et nous offrir de bons rebondissements ! L’affrontement Captain America/ Ameridroïde est d’anthologie.
La troisième partie de The Clidren’s crusade, la saga des jeunes Vengeurs est d’une grande qualité. Toujours aussi bien écrit par Allan Heinberg, nous ne sommes pas au bout de nos surprises comme ce final qui nous laisse…sans voix ! Et que dire de la partie graphique de Jim Cheung qui nous montre encore l’étendue de son talent ! Les auteurs nous emmènent de Wundagore en Latvérie avec une telle facilité et ne sont pas avares en rebondissements.
Un numéro à ne pas manquer !
Par BERTHOLD, le 5 mars 2012
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