AVANT L'INCAL
Avant l'Incal

Dans les bas-fonds de la cité-puits –
Un groupe d’Aristos en goguette vient goûter aux joies et aux plaisirs malsains des clubs présents dans cet endroit lugubre.
Un jeune garçon va les guider en échange d’un paiement. Il se nomme John Difool.
Son père, qui est un inventeur raté, retourne en prison  et y sera transformé en "bossu", sorte de police sanguinaire et sans pitié.
Sa mère se prostitue pour des doses d’"amourine" et ne s’occupe pas de son fils.  Mais, celle-ci décède suite à une maladie horrible.
Difool reste seul et tente de se suicider. Il est sauvé juste à temps.
il trouvera refuge au sein de la cité des mutants et y trouvera l’amour. 
Mais cela ne durera pas. 
Suite à un attentat contre le clonage du Prèz par un mutant, la cité est envahie par les forces présidentielles. 
John va devoir lutter pour s’en sortir.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur AVANT L’INCAL #1 – Avant l’Incal

En 1988, Jodorowsky retrouve l’univers de l’Incal en proposant les aventures du jeune John Difool.
Moebius ne le suivra pas pour cette aventure et c’est Zoran Janjetov qui reprendra le dessin.
Son style, au départ, se cherche, se construit, est hésitant. Il s’approche du style de Moebius. Mais reste d’un bon niveau.

Dans ce premier tome, on retrouve un jeune John Difool. 
On nous conte sa première rencontre avec Deepo. On va croiser au gré des pages des personnages comme Diavaloo, l’animateur des télé-adds ou le Méta-baron.
Difool est un personnage qui se cherche une identité. Il n’est pas encore l’diot que l’on retrouvrera dans l’Incal tome 1.
C’est donc avec plaisir que l’on retrouve l’univers de Jodorowsky, ses personnages.
Une aventure au niveau de la série d’origine.

Cette série connaîtra une nouvelle édition en 2002 avec de nouvelles couleurs par le studio Beltran  et des couvertures signées José Ladronn.

Par BERTHOLD, le 22 août 2006

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