ASTONISHING X-MEN
Invincible

Sur Breakworld, une prédiction annonce qu’un X-Man détruira ce monde. Ce mutant, qui n’est autre que Colossus, fait justement route vers le monde de Breakworl avec ses co-équipiers.
Londres : un commando armé jusqu’aux dents a attaqué une banque et pris des otages. Captain Britain et l’équipe d’Excalibur interviennent et mettent fin à cette prise d’otages. Mais à la suite de cela, Nocturne se sent mal.
Jamie Madrox est sur la piste d’un de ses doubles. Ce dernier est devenu pasteur et a fondé une famille. Pourtant, Madrox doit bien absorber ce double.

Par berthold, le 1 janvier 2001

Notre avis sur ASTONISHING X-MEN #31 – Invincible

Ce numéro reprend les épisodes US suivants :

Astonishing X-Men # 19

– X-Men : Phoenix-Warsong # 4

– New Excalibur # 16

– X-Factor (vol.3) # 16

Bon, la couverture en jette avec tous ces X-Men prêts à vous sauter dessus, mais il ne faut pas se fier aux apparences : à l’intérieur, à part Astonishing X-Men (et encore), rien ne restera dans vos mémoires après lecture. Non, c’est vraiment une des revues qui me déçoivent de chez Panini Comics. On a fait tout un flan de la mini-saga Phoenix-Warsong, très bon scénario et grand dessinateur, patati et patata,… Et bien, non ! On s’ennuie à la lecture de ce récit et Tyler Kirkhman n’est pas si bon que ça, je trouve. Une saga à oublier.

C’est le retour de Claremont sur New Excalibur, cela devrait être un évènement. Et bien non !  C’est un récit sans grande surprise, malgré un bon dessin d’Eaton. Cela ne vaut pas la grande période Claremont/Davis.

Quant à X-Factor, cet épisode n’apporte pas grand chose. C’est plaisant mais cela reste, finalement, sans saveur.

Non, cette revue ne vaut que pour ces Astonishing X-Men de Whedon et Cassaday. Le dessinateur de Je suis Légion est vraiment stupéfiant sur ces panches. Il forme un sacré duo avec sa coloriste Laura Martin. On a hâte de découvrir la fin de cette aventure.

Si vous aimez le style de Cassaday ou de Whedon, vous pouvez lire cette revue, sinon, passez votre chemin. Il vaut mieux…

Par BERTHOLD, le 20 décembre 2007

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