ASPHODELE
Le preneur d'âmes

Même avec beaucoup d’argent on ne peut pas grand chose contre un ennemi invisible. La fuite semble la meilleur solution, mais c’est une erreur.
Peter Preston, Hugh Sizemore et Michael Towers sont menacée par une force étrange qui sort tout droit des plus terrible histoire de sorcellerie. Ils font appel à Asphodèle, sorcière moderne, écrivain de best-sellers, qui de part sa réputation semble être la seule a pouvoir les aider.

Par aub, le 1 janvier 2001

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Toute la BD, que de la BD !

7 avis sur ASPHODELE #1 – Le preneur d’âmes

Corbeyran n’a pas fini de nous épater avec un nouveau scénario et un univers qu’il n’avait pas encore exploité. Lui qui nous habitue à tout les styles nous surprend encore en nous plongeant dans l’horreur la plus profonde.
Une ambiance de thriller ou d’horreur de toute manière c’est avec quelques frissons que j’ai lu cette BD et c’est d’une traite que je l’ai dévoré.
L’histoire est fluide et rapide, je regrette même de l’avoir aussi vite terminé et j’en espère déjà une suite.
Le lancement du nouveau label « Insomnie » avec cette histoire est a parier un futur succès pour Delcourt… Cette collection ne me fera peut être pas faire d’insomnie cette nuit, car par chance je l’ai lu en plein après midi lorsque la lumière du jour est encore suffisemment forte et que les ombres sont encore explicables.

Par AUB, le 7 mars 2003

Et bien, cette nouvelle collection s’annonce très prométeuse !!! Et a n’en pas douter, Corbeyran est vraiment un maître dans la conception de scenarii fantastiques. Un très bon départ pour cette histoire en deux parties, mais surtout, des dessins magnifiques, aux couleurs très vives, et aux découpages ne laissant parfois aucune marge dans la page…
Un régal pour les yeux!
Achat indispensable pour le fans de Corbeyran, et hautement recommandé pour les autres…

Par RONAN, le 11 mars 2003

Sont-ce les couleurs affreusement artificielles où les traces de sang ressortent finalement à peine ? Est-ce la tonalité monocorde du scénario, qui ne prend jamais de rythme, même aux instants les plus poignants et dramatiques ? Sont-ce les personnages assez fade même si on devine chez chacun un passé lourd mais prévisible? Toujours est-il que je n’ai pas accroché du tout à la narration passive et finalement peu effrayante de cet album.
Reste le dessin, alternant entre état de grâce (les scènes fantastiques et les bâtisses) et manque d’expressivité flagrante (la scène du théatre est d’une immobilité incroyable par exemple, et je ne parle pas de l’enterrement…), mais qui malgré d’indéniables qualités ne sauve pas l’ensemble…
Navré mais la suite se fera sans moi, car l' »insomnie » a pour moi tourné à l’endormissement rapide !

Par TITO, le 20 mai 2003

Quelle réussite pour le premier titre du label insomnie de Delcourt !
Graphiquement, c’est tout simplement magnifique, les couleurs sont vives et puissantes sans devenir flashy !
Côté scénario, on peut vraiment dire que l’on est tenu en haleine ! L’histoire est originale pour un genre trop peu répandu en bd !
Voilà un très très bon album, vivement la suite (et fin) !!!

Par MAT, le 20 mars 2003

J’ai réellement trouvé ce premier tome décevant. La lecture en est agréable, et le dessin y est pour beaucoup : des couleurs vives, un style assez classique, et un découpage vraiment très plaisant.
Par contre, c’est vrai que bizarrement, en refermant cette BD, il reste une impression de vide; en effet, le bât blesse au niveau du scénario : une intrigue sans grande surprise, et surtout un personnage principal manquant de substance : à trop vouloir ménager le suspense, et des révélations sans doute à venir, Corbeyran nous présente une Asphodèle, héroïne de cette série, sans relief, peu attachante. C’est vraiment dommage, car ce scénariste nous a habitué à mieux, et qu’encore une fois, le dessin est très agréable.
J’espère que dans la suite, cette série gagnera en profondeur…

Par Gdseb, le 29 avril 2003

Le scénario est quand même astucieux même si il ne fait que rabâcher des trucs mille et une fois écrites auparavant, sur ce point Corbeyran montre bien combien il a systématisé son écriture qu’il a gorgé de tics et d’effets faciles. Ainsi si on a lu d’autres albums de ce scénariste on peut déjà en déduire le déroulement sans problème. De plus il utilise les mêmes techniques que pour « Le chant des Stryges » par exemple, des flash-back, des scènes énigmatiques etc. Bref aucune surprise dans cette histoire prévisible à l’excès (et mon dieu, certaines scènes sont vraiment bâclées, comme par exemple celle ou le personnage drague la belle blonde dans un bar, j’ai failli refermer le bouquin à ce moment là !).
Pour les dessins, moi je ne suis pas fan, néanmoins le dessinateur se défend bien, ça manque d’expression mais c’est quand même relativement vivant, il faudrait juste changer de coloriste car à bien des occasions cela nuit au planches, trop de couleurs flashy et souvent de mauvais goût !
« Asphodèle » est donc un album qui se laisse bien lire mais qui ne surprend pas, un énième opus sur la sorcellerie !

Par FredGri, le 20 juin 2003

Je suis assez mitigé suite à la lecture de cette BD. Certes, les dessins sont bien, surtout lorsqu’on s’est habitué aux couleurs assez bizarres pour mes yeux de daltonien… Passé cette première gène, le dessins passe agréablement, mais ressemble un à de la photo. Clichés d’une scène, puis clichés d’une autre, et ainsi de suite…
Ensuite le scénario… pour ma part j’oscille, c’est satisfaisant, mais un peu prévisible, et c’est la dose de mysticisme qui me fait accrocher au récit, malgré le fait qu’on puisse prévoir pas mal de choses pour l’instant. ce premier tome se met en place doucement, mais pour ma part, reste une BD agréable à lire, mais qui attendra confirmation de la lecture du second tome pour savoir si je maintiens ma plutôt bonne impression. A suivre donc, en espérant que la cadence et le rythme s’améliore…

Par Siam l'Archiviste, le 18 juin 2003

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