ASPEN COMICS
Fathom, Cannon Hawke et Soulfire

Onzième numéro d’Aspen Comics.
Aspen rencontre enfin son père, son père biologique. Et la rencontre n’est pas des plus chaleureuses. De son côté Cannon s’enfuit et le conseil des Bleus ne souhaite pas une guerre ouverte avec le monde des humains. Mais ils ignnorent qu’en surface les opérations vont se durcir.
Cannon est attaqué de toute part. Suite à l’attaque de Maylander, il part à la poursuite de Shark qui est visiblement l’informateur de l’amiral. Mais pris au piège, il est sur le point de laisser Taras prendre le contrôle de son corps. Ce dernier parvient à prendre le dessus pendant un bref instant.
Dans Soulfire, Rainier a retrouvé les traces de Malikai et de ses amis dans la ville de Tokyo. Le dragon mécanique parvient à enlever Mal mais celui-ci n’a pas capituler et la magie afflue en lui de manière abrupte.

Par eric, le 1 janvier 2001

Notre avis sur ASPEN COMICS #11 – Fathom, Cannon Hawke et Soulfire

On prend les mêmes et on recommence, ou plutôt on continue. La nouvelle formule d’Aspen Comics avec son nombre de pages augmenté permet de positionner des couvertures alternatives supplémentaires, des mini posters ou des dossiers sur le monde d’Aspen Mathews. Au final, on est plutôt ravi. Les équipes n’ayant pas changé depuis le dernier numéro, on retrouve les mêmes éléments avec leur force et leur faiblesse. Ce nouveau numéro est riche en action, surtout du côté de Cannon Hawke et Soulfire.  Côté Fathom, on attend ce qui va advenir d’Aspen et du rôle que vont jouer les Ténèbreux, aux-quels elle appartient en partie.
Du côté de Cannon Hawke, la dualité entre Taras et Cannon est difficelement perceptible et on ne sait pas trop qui est présent à tel ou tel moment de la journée.
Graphiquement c’est plus de Soulfire que vient la surprise avec une partie de révélations sur la nature de Rainier. Pour rappel, la magie a disparu du monde et laisse la place à la technologie. Que peut-on dire de ce personnage qui vit grâce à la fusion de ces deux univers concurrents? Les origines de Rainier sont traitées comme s’il s’agissait d’une mise en abymes où il prendrait un livre qui serait composé des esquisses de sa vie. En tout cas ce bref interlude, permet de juger du ressentiment qu’il nourrit. Malgré le mal qui émane de lui, on le trouverait presque sympatique.
En dépit de la formule employée au début de ma critique, c’est toujours avec plaisir que je me plonge dans ces univers imaginés par Michael Turner. Et visiblement, il faut croire que ces mondes plaisent car un hors série est annoncé pour compléter cette part de rêve.

Par Eric, le 17 janvier 2007

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