ASPEN COMICS
Fathom, Cannon Hawke et Soulfire

Au programme de ce dixième numéro :
–Aspen qui découvre petit à petit ses origines dans Fathom ;
Une mini histoire sur le monde d’Aspen sur une pêche tant fantastique que légendaire, un calamar monstrueux;
–Cannon Hawke se bat pour ne pas laisser Taras prendre le dessus, et le conseil des Bleus le bannit pour son implication dans la conflit avec le monde des humains;
–Dans Soulfire, Malikaï poursuit son apprentissage pour la restauration de la magie dans son monde.

Par eric, le 1 janvier 2001

Notre avis sur ASPEN COMICS #10 – Fathom, Cannon Hawke et Soulfire

Ce dixième numéro mettant en avant les séries de la maison d’édition Apsen Comics est riche en événements et montre l’ominiprésence de J.T. Krull sur ce label. En effet, il signe ou co-signe l’ensemble des séries de cette revue. Ainsi, la cohérence de l’univers imaginé par Michael Turner s’en trouve renforcé.
Pour ce qui est de de la série Fathom, il est intéressant de voir le travail effectué par Koi Turnbull, son découpage se laisse aller vers plus de liberté en proposant des planches avec très peu de cases ou avec des plans mêlés pour donner l’impression de fluidité propre à l’élément aquatique. En revanche, certains personnages comme celui de Casque semblent un peu ratés avec leurs traits trop chargés.
Dans Cannon Hawke la dualité entre Taras et Cannon prend ici un tournant plus prononcé. Car il devient de plus en plus difficile de voir lequel des deux prend le dessus sur le l’autre pour s’approprier le corps qu’ils partagent.
Et pour finir la série de Michael Turner, Soulfire, poursuit son bonhomme de chemin sous la conduite du maitre qui risque d’être présent lors du prochain festival d’Angoulème.  Les scènes fourmillant de détails alternent avec celles où seuls les personnages apparaissent, ce qui laisse un sentiment mitigé car cela semble un peu facile. Mais d’un autre côté cela donne une lecture plutôt fluide et facile.
Au final, il nous reste à attendre le prochain numéro pour savourer les futurs rebondissements que distille cette revue au compte goutte.

Par Eric, le 3 décembre 2006

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