ARIA
Le tribunal des corbeaux

Aria chevauche au hasard des chemins, lorsqu’elle hésite à prendre l’une ou l’autre direction qui se proposent à elle. Une lance curieuse se trouve par terre, et elle décide donc de suivre l’orientation donnée mais auparavant, la curiosité étant un faible de la guerrière, elle ne peut s’empêcher de l’essayer, et curieusement, le bout de la lance s’ouvre en un bourgeon l’espace de quelques instants… C’est alors qu’elle découvre un homme sérieusement blessé, Jomlor, qu’elle soigne un peu et ramène à son campement. Là elle en apprend d’avantage, la famille et les amis du Père de Jomlor sont à la recherche de Zdaïne, sa fille, qui a été enlevée lors de la mise à sac de leur village.
Aussitôt que Jomlor est remis de ses blessures, Aria et ses compagnons partent dans la direction de Formosia, direction que semble indiquer Yog (la lance), où ils assistent à un bien curieux supplice lié au tribunal des corbeaux…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur ARIA #7 – Le tribunal des corbeaux

Septième tome et toujours rien de changé, le scénario est toujours impeccable, se renouvelant sans trop de difficulté, et le dessin ne perd aucunes de ses qualités, l’héroïne étant toujours aussi attirante et maligne. Si j’osais, je la comparerais à l’héroïne de la bande dessinée Atalante de Crisse. C’est vrai qu’elles sont toutes deux intelligentes, rusées, et de surcroît charmantes… Que pourrait-on reprocher à un album doté d’un héros intelligent, qui sait se servir de ses muscles autant que de sa tête.
Si l’on observe bien les albums de Michel Weyland, enfin tout du moins la série Aria, on peut dégager une thématique dans le traitement des histoires. En effet, il y a toujours une petite morale qui se cache dans chaque histoire, une remarque de bon sens par rapport à la vie en quelque sorte. Et je dois dire que cela me plait assez, malgré le fait que ce soit un peu fleur bleue de ma part. ;o) Présentement, la parabole quand à l’aspect physique me plait assez pour cet album, mais je ne vais pas gâcher le suspense en dévoilant des morceaux de l’intrigue, aussi je vous laisse découvrir vous-même (si ce n’est pas déjà fait), cette très bonne série qu’est Aria.

Par Siam l'Archiviste, le 5 août 2003

Publicité