ARCANUM
Arcanum, vol 1

Le bien et le mal s’opposent depuis des siècles. Leur lutte est matérialisée par la guerre que se livrent deux factions rivales. Leur particularité est de canalisé la magie, on les appelle "les avatars".
Pour continuer cette lutte, il faut recruter de nouveaux avatars pour remplacer ceux tomber au combat. Le pouvoir d’un nouvel avatar se manifeste à l’improviste. Et dans cette lutte séculaire, c’est celui qui aura les troupes les plus nombreuses qui pourraient l’emporter.
Dans ce contexte, Ming, qui vient de recevoir le pouvoir de l’avatar de vie, devra choisir son camp…

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ARCANUM #1 – Arcanum, vol 1

Cette série était auparavant parue en fascicule en kiosque chez le même éditeur. Et elle a permis de decouvrir le talent de deux personnes remarquables.
Tout d’abord ce qui frappe ce sont les couleurs de Richard Isanove. Son travail sur les textures et les effets visuels est vraiment des plus réussis. Par moment, on pourrait penser que l’on est dans un univers futuriste et pourtant, la dominante de cette série est le mysticisme.
Quand au travail de Peterson, si les détails des armures que revétissent les avatars sont sublimes certains de ces personnages féminins sont particuliers. Ainsi, l’avatar qui porte le nom d’Isanove a un visage buriné un peu comme celui d’un homme. D’ailleurs certains personnages ont la facheuse habitude de se ressembler.
Cette série, permettait de dépoussiérer un univers magique, très en vogue chez Top Cow à cette époque. C’est ainsi que ce premier tome est l’occasion de diverses allusions à d’autres séries de la maison de Marc Silvestri. D’un part on retrouve Royale, un mage maléfique qui a croisé jadis le chemins de la détentrice de la Witchblade et d’un Spawn. Et aux détours d’autres pages, on peut rencontrer quelques membres de "Weapon Zero" et d’autres de "Cyberforce".
Enfin, ce tome pourrait se suffir à lui-même, même si le combat contre Royale ne fait que commencer. Autre un dessin réussi et ces belles couleur, Arcanum se démarque aussi par le fait qu’entre le bien et le mal on peut choisir de rester neutre…

Par Eric, le 9 décembre 2005

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