AOZORA YELL
Volume 1

Tsubasa commence sa scolarité au lycée Shirato de Hokkaidô, un établissement célèbre pour sa fanfare et son équipe de baseball. Et si la jeune femme a décidé de rejoindre cette école, c’est justement pour entrer dans la fanfare.

Elle fait connaissance, dès son arrivée, avec un garçon immense et bienveillant, Daisuke, qui va l’encourager. Car Tsubasa manque cruellement de confiance en elle. Elle est très troublée par la gentillesse du lycéen.

Par legoffe, le 28 février 2021

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Notre avis sur AOZORA YELL #1 – Volume 1

Panini, nous en parlions récemment, se lance dans une politique de réédition spectaculaire cette année. Les fans de mangas leur en seront grés car cela va permettre de lire des titres qui étaient devenus introuvables.

Concernant Aozora Yell, la situation est encore différente car l’éditeur avait publié la version française voici plus de dix ans mais avait cessé les parutions dès le cinquième tome. Ceux qui avaient commencé la série (et qui ont eu la bonne idée de conserver les livres) seront donc contents de savoir que Panini reprend l’aventure.

Ce shojo nous entraîne dans les coulisses d’une fanfare et d’un club de baseball. Un sujet léger mais suffisamment méconnu pour susciter la curiosité. Tsubasa souhaitant apprendre la trompette, vous en saurez ainsi plus sur les cuivres et les défis que représente leur maîtrise.

Pour le reste, l’histoire est des plus classiques et très fleur bleue. Les personnalités ne sont pas inintéressantes et certains messages sont bienvenus. L’auteur met ainsi en avant la gentillesse des personnages et leur envie de se surpasser.

Dommage que le récit manque de rythme et que les situations soient parfois un peu répétitives. Mais on sent une amélioration dans le dernier tiers du livre, qui laisse espérer plus de tonus dans le prochain volume.

Les dessins, quant à eux, sont sobres et dans la veine de la plupart des shojos. Certaines planches sont bien travaillées, mais d’autres sont plus pauvres. Le mot qui me vient à l’esprit est « inégal ». Rien de rédhibitoire, en tout cas. Mais, avouons-le, ce n’est pas un démarrage… en fanfare (pardon, elle était facile celle là).

Par Legoffe, le 28 février 2021

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