L'amour en 20 declarations

Est-il encore utile de présenter Maïa Mazaurette, chroniqueuse, blogueuse, scénariste, dont la collaboration avec Arthur de Pins, a enrichi l’univers des Péchés Mignons, et qui a aussi commis quelques guides au nom évocateur et sans ambigüité tels que : Peut-on être romantique en levrette.

Par olivier, le 3 juin 2014

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Notre avis sur L’amour en 20 declarations

Maïa Mazaurette, qui parle de sexe sans parler de cul, cultive ses connaissances sociologiques et presque anthropologiques pour tenter de décortiquer les rapports qui unissent ou repoussent les hommes et les femmes.
Première étape d’une relation qui cherche à s’installer : la déclaration d’amour.
Comment déclarer sa flamme, que l’on soit fille ou garçon, sans sombrer dans le ridicule, et en essayant de mettre de son côté toutes les chances de toucher le cœur de l’être aimé.
Bien évidement on peut supposer que depuis l’homme des cavernes tout a déjà été imaginé. Maïa Mazaurette dans ce petit guide vous propose donc quelques recettes pour essayer de sortir de ces codes établis, être original en adaptant des pratiques déjà bien rompues à son propre style.
Déclarations par playlist interposée, un tatouage, trouver un intermédiaire de confiance pour le faire a sa place, 20 techniques ou chacun trouvera de l’inspiration. Pas de recettes toutes faites, ça c’est pour la cuisine, mais des pistes ouvertes avec à chaque fois des recommandations, des gardes fous, les choses à ne pas faire et les risques potentiels.
Avec un humour plein de tendresse, Maïa Mazaurette décline ces différentes approches où, que vous soyez débutant aux mains moites ou couple installé dans la routine, vous trouverez peut-être un petit déclic qui vous aidera à sauter le pas ou bien à réaffirmer des sentiments.

Et, si tout cela ne fonctionne pas, vous pourrez toujours vous replonger dans le Guide du râteau.
Avec l’amour en 20 déclarations, nous ne sommes plus dans de la bande dessinée mais dans le guide illustré, ce qui ne gâche rien au plaisir de lecture.

Par Olivier, le 3 juin 2014

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