AMAZONES (LES)
Chapitre 2

Les guerrières koumanes détiennent toujours le lieutenant Parker. Ce dernier a bien tenté une évasion mais ça n’a pas marché. Il ne s’est pas résigné pour autant.
Izuke est enceinte de Parker. De ce fait, même si elle est le second de Qasha, elle commence à avoir plus de pouvoirs. Ce qui ne plait pas du tout à Qasha, qui est, elle, stérile.
Le lieutenant va tenter de jouer la dessus pour retourner l’opinion d’Izuke…

 

Par berthold, le 2 décembre 2012

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur AMAZONES (LES) #2 – Chapitre 2

Deuxième partie de cette belle aventure qu’est "Les Amazones".

Nous retrouvons nos héros toujours en fâcheuse posture, toujours prisonnier des guerrières koumanes. De plus, entre le lieutenant et le scout Bachir, un écart est en train de se creuser. Les deux hommes commencent à s’éloigner et à être en conflit. Tout cela à cause des deux femmes koumanes Qasha et Izuke.
Clarke est surprenant avec ce récit. Il fait vraiment penser à du Hugo Pratt période Macumba du gringo entre autres. Cela aurait pu rejoindre en son temps la collection Un homme, Une aventure.

Le scénariste fait avancer les choses dans cette seconde partie. Il arrive à étoffer la personnalité et le caractère de ces personnages. On est surpris aussi par certains passages assez difficiles comme lorsque l’on voit ces soldats anglais empalés ou bien lorsque les guerrières torturent certains prisonniers. J’ai beaucoup aimé la façon dont il a su faire évoluer la relation entre Parker et Bachir.
Il nous montre aussi la quête des soldats anglais menée par le Général pour tenter de mettre un terme aux agissements de ces "amazones".

Le dessin de Borecki séduit de plus en plus dans cette deuxième partie. Aidé par les belles couleurs de Cerise, il sait donner de la puissance à son trait et à cette histoire. Je trouve son style assez fascinant. Borecki fait de l’excellent ouvrage qui saura séduire les amateurs.

"Les Amazones" est une très belle histoire, une aventure que je vous recommande. Pour une fois que nous avons de quoi lire quelque chose d’original, ce serait dommage de passer à côté.

 

Par BERTHOLD, le 2 décembre 2012

Publicité