ALL WATCHER
Intégrale 1/2

Antonia Sforzi va fêter ses 23 ans. Elle découvre que Renato, celui qu’elle croyait être l’homme de sa vie, la trompe. Elle pensait que son père travaillait dans une banque au service contentieux mais le jour de son anniversaire, ce dernier lui apprend qu’il travaille pour la Famille Valeroni. Antonia doit reprendre le flambeau, étant l’aînée des Sforzi. Mais la jeune fille a du mal à jouer ce rôle. De plus, elle croise la route d’un bel et jeune américain nommé Larry B.Max, un agent de l’IRS qui est en mission à Rome…

Par berthold, le 28 mars 2019

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Notre avis sur ALL WATCHER #Int.1 – Intégrale 1/2

Ce premier volume reprend les quatre premiers tomes de la série : "Antonia", "La nébuleuse Roxana", "Petra" et "La Spirale McParnell".

All Watcher
est une  série dérivée d‘IR$, de Vrancken et Desberg qui reste ici le scénariste, accompagné par Queireix, Bourgne, Mutti et Koller.

Ce récit  ne s’intéresse pas particulièrement à Larry B.Max, qui joue plutôt un second rôle, il se concentre plutôt sur "All Watcher". Est-ce une personne ou un groupe ? Pour l’instant, avec ces quatre premiers  tomes, nous n’en savons pas trop. Le mystère reste entier.
Desberg continue de nous intriguer avec ce fameux All watcher et ces différents personnages qui semblent graviter autour de ce mystérieux groupe ou ce n’est, peut être, qu’une seule personne. Mais ça, la suite nous le dévoilera.

Le scénariste nous présente dès le premier tome, une très belle femme, mais tout aussi dangereuse que belle. Ce personnage fascine, intrigue. Ce n’est pas comme ce Vincent Coutelier qui fait pâle figure à côté, et dont le sort, finalement, nous importe peu.
L’auteur maintient son intrigue, même si parfois, nous avons l’impression d’être un peu perdus. Il n’oublie pas de donner du fil à retordre à son héros, Larry B.Max et de le malmener. La suite est du même gabarit. Le récit reste efficace et prenant. Un bon thriller qui plaira sans hésiter aux amateurs.

Les dessinateurs en charge des divers épisodes sont de bons "faiseurs". Leur style se rapproche assez de celui de Bernard Vrancken, permettant d’avoir une certaine osmose dans le dessin.

Une bonne occasion pour (re)découvrir ce titre.

Par BERTHOLD, le 28 mars 2019

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