ALGERNON WOODCOCK
Le Dernier Matagot - Première partie

A son retour à Edinbourg, Algernon Woodcock avait démissionné de la faculté. Il était parti s’installer à la campagne pour s’y consacrer à l’éducation de Benedict. Cela n’a pas toujours été facile pour Woodcock de s’occuper de ce garçon, qui n’est autre que l’enfant d’une reine des fées. Et un jour, il sait que Benedict lui sera enlevé.
Et ce jour là semble être plus proche qu’il ne le pensait.
Alors qu’il se rendait chez son ami William avec Benedict, une jeune fille lui remet un message dans  lequel il comprend qu’il faudra que l’enfant soit ramené. William lui demande de ne pas en parler à sa femme Deirdre. Mais juste avant le repas, le petit groupe reçoit la visite inattendu de Browne. Ce dernier a des révélations à faire…

 

Par berthold, le 6 mars 2011

Publicité

Notre avis sur ALGERNON WOODCOCK #6 – Le Dernier Matagot – Première partie

Que ce mois de mars 2011 soit béni par les fées et autres elfes des diverses forêts, surtout ceux provenant des landes écossaises : Algernon Woodcock est de retour chez nos libraires avec ce sixième tome.

Le Dernier Matagot est la première partie d’un nouveau diptyque. C’est donc avec un réel et grand plaisir que nous suivons les nouvelles aventures de Woodcock, où nous retrouvons aussi d’autres personnages vus dans les précédents épisodes.
Le scénario de Gallié est une nouvelle fois à la hauteur. D’entrée, il nous replonge dans l’ambiance, dans l’atmosphère si particulière de l’univers de Woodcock. Il nous entraîne de surprises en surprises avec ce nouveau drame. Drame, oui, puisqu’il y est question de séparation entre un père adoptif et son fils, de morts et de violence. Il y a donc les troupes d’Alisandre qui vont s’en prendre à Algernon et ses amis. Il va s’en prendre surtout à Deirdre. L’auteur nous en apprendra aussi un peu plus sur le personnage de Browne.
Ce tome va amener aussi Woodcock vers un nouveau destin.
Le récit de Gallié s’avère être un très bon début.

Nous retrouvons avec bonheur les magnifiques dessins et peintures de Sorel. Il n’a pas son pareil pour donner l’atmosphère à son récit grâce à sa palette de couleurs. Le ton choisi nous montre la noirceur ou l’inquiétude qui naît du passage choisi. Son personnage de Browne est des plus impressionnants dans ce tome. Il s’avère avoir une sacré présence, surtout lors de scènes où l’action prime. Il faut aussi souligner avec quelle maestria il rend honneur aux paysages d’Ecosse.

Le lecteur aura donc hâte d’avoir la seconde partie en main pour découvrir ce qui attend Woodcock et ses amis. En attendant, plongez vous donc dans la lecture de cet excellent tome 6.

 

Par BERTHOLD, le 6 mars 2011

Publicité