ALBATOR
Mémoires de l'Arcadia

La Terre est la planète natale des terriens, cependant elle n’en est pas leur propriété. Les sylvidres sont sur le point de récupérer cette planète qui serait leur berceau. Des scientifiques font des découvertes surprenantes, des vestiges datant de la nuit des temps, des mausaulées bien plus vieux que l’histoire de l’humanité. Ces mausaulées sont ceux des sylvidres, et les quelques unes encore présentes sur Terre, endormies, se reveillent petit à petit pour faire disparaitre ces curieux. Leur but, c’est de caché aux yeux de tous l’imminente invasion de la Terre.
Certaines disparitions arrivent aux oreilles d’Albator qui se met à chercher pourquoi et le hasard va le mener à un archéologue au pôle nord, qui a trouvé récemment une stèle bien plus ancienne et qui attesterait de la présence des sylvidres, mais bien plus encore. Il s’agit en fait de sylvidres mutantes, des sylvidres des glaces, dont la reine se reveille peu à peu et ne souhaite qu’une chose, récupérer la Terre.
La Terre est à l’aube d’un nouveau péril, et Albator entend bien la sauver.

Par eric, le 15 novembre 2019

Notre avis sur ALBATOR #1 – Mémoires de l’Arcadia

Lancement en fanfare de la part des éditions Kana qui créent une nouvelle collection : classics. Avec au menu, les mémoires de l’Aracadia, une histoire inédite des aventures du corsaire de l’espace, le tout supervisé par Leiji Matsumoto lui-même. Pour l’occasion on retrouve non pas un manga mais une bédé au format franco-belge classique. L’histoire, se déroule durant la première série Albator avec les sylvidres. L’aventure proposée est assez inovante par rapport à la série initiale et très plaisante à lire. On a une progression linéaire de l’intrigue avec de plaisants rebondissements. 
Les développements choisis par les auteurs, au début peuvent surprendre mais s’imbriquent bien dans la mythologie d’Albator (du moins du souvenir que j’en ai).

L’auteur par le biais de son travail d’illustration sur des série japonaises à sur gagner la confiance de l’auteur d’Albator et permis à se projet de voir le jour. Voir Albator en format franco-belge et en couleur, cela change énormément le plaisir de lecture et cette bédé constistue à elle seule une agréable madelaine de Proust. Chaque personnages, chaque vaisseaux, est reproduit avce fidelité. Sans doute avec un trait un peu plus moderne des personnages longilignes imaginés par Leiji Matsumoto. Le résultat est des plus agréables à lire et à regarder.

La série sera en trois tomes si l’on en croit la quatrième de couverture,alors que le site de l’éditeur parle de deux tomes c’est un peu dommage. Le début est encourageant et peut laisser penser que l’on aura d’autres arcs narratifs. Souhaitons-le !

Par Eric, le 15 novembre 2019

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